mardi 20 avril 2010

IMPORTANT! Pétition à l'Asssemblée nationale contre la taxe fixe en santé

Saviez-vous qu'ils veulent ajouter une taxe de 200$ par personne par année pour soutenir le système de santé et ce peu importe le salaire??? C'est surtout injuste pour ceux qui ne l'utilisent pas de toute façon et qui payent eux-même pour d'autres moyens de se soigner!

Voilà le but de cette pétition: dire non.
http://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-365/index.html

mercredi 14 avril 2010

ORIGINES PAIENNES DES FETES CATHOLIQUES: SAMHAIN – TOUSSAINT


Samhain, la plus célèbre fête païenne, signifie fin de l’Eté, que les Celtes célébraient à cette occasion. Prononcer sow ween, sow comme l’Anglais how et ween comme dans Halloween, littéralement qui vient de hallow, devenu holy, qui signifie saint et de eve, even, devenu evening, soirée, c’est donc la soirée pendant laquelle les saints sont honorés, la veille de la Toussaints des Catholiques.
Cette célébration qui a lieu la nuit du 31 octobre au 1° novembre, est une Fête Majeure, c’est le Jour de l’An de l’ancien cycle, et surtout la nuit durant laquelle la frontière entre les mondes visible et invisible est la plus perméable, puisque s’ouvre le Sidhe, Monde du Dessous, alors que le voile qui s’était amenuisé à Beltaine, dont Samhain est le répondant, concerné surtout par les Entités Forces de la Nature.
On y célèbre les défunts et la divination, et on médite sur son inévitable propre mort.
Les anciens craignant les mauvaises rencontres, les costumes revêtus par les enfants à Halloween servent à noyer les apparitions dans la masse.
La peur des Esprits avait d’ailleurs poussé les Irlandais à sculpter des lanternes dans une variété de gros navets, légume racine extrait de la Terre, pour les éloigner, tradition que l’on retrouve dans le Nord de la France et en Belgique.
L’Homme Noir, qu’est devenu le Dieu Solaire à Mabon, sort du Monde des Ombres et vient sur Terre en abattant les frontières pour inviter la Déesse à le suivre et faire l’expérience de la Mort.

En ce début du mois de novembre, avaient lieu les Ludi Plebei, les jeux de la plèbe, composé surtout de représentation théâtrale. On ne sait si à leur origine, ces fêtes commémoraient un événement pastoral, ce que les Catholiques voulaient remplacer d’abord chez les Païens en général, puis chez les Romains en particulier est expliqué ci après.

La Toussaint n’est célébrée chez les Chrétiens que par les Catholiques.
A l’origine, le pape Boniface obtint de l’empereur Phocas de débarasser le Panthéon, temple circulaire où trônaient les idoles romaines et celles des terres conquises, de toutes les idoles qu’il contenait, et le consacra le 3 mai 605 à la Vierge Marie et aux Matyrs, que les Chrétiens Grecs honoraient déjà au IV° siècle, le dimanche qui suit la Pentecôte.
Plus tard, les pèlerins venant en nombre rendre hommage à Sainte Marie aux Martyrs au beau milieu des travaux agricoles, la fête fut donc déplacée au 1°novembre, les moissons terminés, raison officielle invoquée par son instigateur le pape Grégoire IV en 835.
Tous les Saints été vénérés, car certains n’avaient pas de fête propre, et en ce jour ils étaient plus à même d’intercéder auprès de Dieu pour qu’il accède à nos requêtes.
Le 2 novembre, on institua la Fête des Ames, devenue la Fête des Défunts afin de prier pour le salut des âmes coincées au Purgatoire, invention des Catholiques pour placer les âmes de ceux qui n’ont été ni trop bon pour aller au Paradis, ni trop mauvais pour aller en Enfer et qui attendent leur sort.
L’obligation de se rendre à la messe pour cette occasion n’est faite aux Catholiques par Pie X qu’en 1914 !

ORIGINES PAIENNES DES FETES CATHOLIQUES: MABON - TRANSFIXION


Mabon, l’Equinoxe d’Automne, en cette nuit du 21 septembre, on célèbre les deuxièmes moissons.
Mabon, dieu Gallois, connu sous le nom de Maponos en Gaulle est le Dieu de la Médecine et de la Jeunesse, ainsi que de la de la Fertilité Masculine, connu également pour ses exploits guerriers, il est comparable à l’Apollon Romain.
La récolte de la Vigne commençant à cette période, il est aussi parfois rapproché de Bacchus.
La légende irlandaise compte un dieu très comparable au Gallois Mabon, Oengus, ou Mac Oc, fils adultérin du Dagda, le Dieu Bon, et de la femme de son frère Elcmar, «  L’Envieux », Boann, « La Vache Blanche », un aspect de la Déesse Mère, sensé apporté la prospérité, appelée Modron en Gallois.
Le Dagda éloigna son frère par ruse pendant neuf mois, qui pour lui, ne lui semblèrent qu’un jour. Quand il revint, sa femme accoucha de celui que l’on surnommera le Jeune Fils, puisqu’en apparence sa gestation ne dura qu’un jour.
Mabon fut enlevé à sa mère trois jours après sa naissance, pour être placé dans les entrailles de la Terre, ou à Caer Lloyw, la ville lumière, Gloucester, suivant les légendes.
Il sera délivré après avoir appris la sagesse auprès des plus anciens animaux vivants, le merle, le cerf, l’aigle, le hibou et le saumon pour venir en aide à d’autres divinités.
A l’Equinoxe d’Automne, les jours diminuent petit à petit, on se prépare à vivre un ralentissement, un assoupissement de la Nature.
Le Dieu est destitué par le Seigneur du Monde des Ombres, qui n’est personne d’autre que lui-même et devient le nouvel Homme Noir.

Du 15 au 18 septembre, se déroulaient les Ludi Romani, les Jeux Romains au Circus Maximus, en l’honneur de Jupiter Optimus Maximus, qui libéra Rome des Gaulois en 366 avant J.C. Ils étaient précédés des Ludi Scaenici, les Jeux Théâtreaux. Les Dieux y étaient présents par le biais de leurs statues.
Mais, l’Equinoxe marque surtout le retour de Proserpine aux Enfers, événements triste, annonciateur de l’Hiver approchant que semblaient occulter les Romains, préférant l’exubérance des jeux du cirque payés par l’Etat.

Pour les chrétiens, le 8 septembre est célébrée la Nativité de Marie, qui avait lieu le 21 chez les orthodoxes, événement relaté dans le protévangile de l’apôtre Jacques Le Mineur, frère ou demi-frère de Jésus.
La Croix sur laquelle le Christ est mort aurait été retrouvée par Sainte Hélène, mère de l’Empereur Constantin, qui le lendemain de la célébration de sa trentième année de règne en 335, fit présenter le Bois Sacré, l’Hyposis pour la première fois devant le peuple de Tyr, où l’Emperur avait dédicacé deux basiliques la veille de ce 14 septembre.
Cette fête est déjà répandue chez les chrétiens d’Orient au VII° siècle, dans tout l’Occident sous le pape Serge I°.
Depuis le XIV° siècle, le 15 septembre est dédié à la Mater Dolorosa, Notre Dame des Sept Douleurs, ou la Transfixion, du latin transfigere, transpercer.
La Vierge Marie est alors représentée avec le cœur transpercé de sept poignards symbolisant les sept douleurs qu’elle a endurées pour son fils Jésus : la première, les prophéties de Siméon, la deuxième, la fuite en Égypte après le massacre des innocents, la troisième, la perte de Jésus au Temple, la quatrième le moment où elle l’a vu portant sa croix sur le chemin du Calvaire, la cinquième, la crucifixion, la sixième, la descente du corps de la croix et enfin, la septième, la mise au tombeau de son fils.

ORIGINES PAIENNES DES FETES CATHOLIQUES: LUGHNASAD – L’ASSOMPTION

Lughnasad se fête la nuit du 1° au 2 Août, et signifie assemblée de Lug, dieu celte des plus importants aux multiples fonctions, à la fois maçon, musicien, poète, guerrier, et guérisseur, analogue au Mercure Romain.
A l’origine, Lughnasad, marquant le début des premières moissons, est la célébration de la mort de la mère de Lug, Taillte, mère de la Lumière incarnée par Lug, pour finalement devenir celle de la mort du Dieu Solaire.
On remercie les Forces des bienfaits de la Terre pour les premières récoltes, mais on sent déjà que la Force du Dieu diminue, les jours raccourcissent.
La Déesse, Gardienne des Mystères de la Mort sacrifie le Dieu et répand sa chair et son sang sur la Terre afin de la vivifier.
Le Dieu s’en va donc conquérir le Monde des Ombres que chacun doit traverser.

Pendant les neufs premiers jours du mois d’août, les Romains célébraient le Sacrum Anniversarium Cereris, cérémonie anniversaire en l'honneur de Cérès, Déesse de la Terre, pendant lequel femmes et prêtresses, vêtues de blanc lui offraient les premiers fruits de la Terre, et les premiers nés des troupeaux, offrandes appelées prémices. Elles observaient le jeûne ainsi que l'abstinence sexuelle.

L’empereur Maurice, qui régna de 582 à 602, étendit la tradition de l’Eglise de Jérusalem appelée Dormition de Marie sous le nom d’Assomption, terme qui à l’origine signifie assumer, « prendre en charge avec toutes les implications », devenu synonyme d’élévation de Marie au Ciel.
En Occident, le pape Serge I° institue vers l’an 700 la fête en l’honneur de la mort temporelle de la mère de Jésus.
A la mort de la Vierge, Jésus redescendit sur Terre parmi ses Apôtres pour discuter avec eux du sort de sa défunte mère. Il fut décider qu’elle reposerait sous l’Arbre de Vie jusqu’à la résurrection générale, et fut élevée par son fils, quittant une fois de plus ses chers disciples comme jadis en Galilée, depuis son tombeau de la vallée du Cédron. La date du 15 Août pour célébrer l’Assomption est définitivement fixée par Pie XII en 1950, comme quoi !

ORIGINES PAIENNES DES FETES CATHOLIQUES: LITHA – SAINT JEAN


Litha qui se célèbre la nuit du 21 juin, nuit la plus courte de l’année, vient du nom du mois du calendrier soli lunaire Anglo-Saxon à cheval sur nos actuels mois de juin, aerra litha, qui préccède litha, et de juillet, aefterra litha, qui suit litha, et signifie calme, paisible, puis par extension, navigable en rapport à la calme brise de cette période qui permet une navigation sûre.
Astronomiquement parlant, litha parfois aussi appelée Midsummer, correspond au solstice d’été, le jour le plus long de l’année, moment de la plus longue illumination, mais aussi, par conséquent, le point de départ du raccourcissement des journées.
Homme et Nature atteignent l’apogée de leur plénitude et s’en réjouissent, c’est la Fête de la Communauté. Le Dieu ayant porté les fruits de la Terre à maturité est couronné Roi, Seigneur du Soleil et de la Vie.
De grands feux honoraient le soleil mourrant.

Vers le 15 juin, prenaient fin les Vestalia, fêtes en l’honneur de Vesta, Déesse Romaine du foyer, servie par six prêtresses vierges appelées vestales, qui entretenaient continuellement un feu sacré, la Déesse étant également associée aux Flammes.
Les rites des Vestalia sont restés secrets si bien qu’on n’en connaît quasiment rien, hormis qu’elles débutaient autour du 10 et que les Matralia en étaient une étape.
Les Matralia était la fête de la Mater Matuta, Aurore, Déesse du matin, fatiguée de se lever de plus en plus tôt et à qui les matrones apportaient au temple des galettes symbolisant son fils le Soleil, pour l’aider. Puis, elles chassaient violemment une esclave, représentant l’obscurité, du temple.
Les Vestalia prenaient fin quand les vestales balayaient le temple et en jetaient les souillures au Tibre.
Le 24 juin, les Romains célébraient Fors Fortuna, déesse du Hasard, littéralement, « qui apporte la chance », en traversant ou descendant le Tibre, sur le bord duquel se trouvait son temple, dans des nacelles parées de fleurs et s’adonnaient à de copieuses libations…
Egalement surnommée Primigenia, littéralement « la première née » de Jupiter en fait, elle était à la fois la fille et la nourricière de ce dernier.

A la même date, les Chrétiens fêtes la naissance de Saint Jean-Baptiste, un cousin éloigné de Jésus, puisque qu’Elisabeth, sa mère et Marie sont cousines.
De huit ans l’aîné de son illustre parent, ascète, il prophétisait et finit par s’installer vers 27 après son cousin, sur les bords du Jourdain, où il baptisait à l’eau en rémission des péchés, prédisant que celui qui viendrait après lui baptiserait par le Saint Esprit et le Feu.
Il baptisa Jésus, le désigna Agneau de Dieu et lui donna ses propres disciples.
Peu après, en 28, Hérode Antipas le fit mettre en prison car, Jean-Baptiste critiquait le fait qu’il ait épousé Hérodiade, la femme de son demi-frère, union interdite par la Loi Juive.
Petite fille d’Hérode Le Grand, elle était donc également la nièce d’Hérode Antipas.
La fille d’Hérodiade et d’Hérode Philippe, Salomé obtint d’Hérode qu’on lui offrît la tête de Jean-Baptiste sur un plateau d’argent en récompense d’une danse qui subjugua le roi et ses convives lors de son anniversaire, autour du 19 août, elle l’offrit aussitôt à sa mère.
Notons tout de même qu’il est fort peu probable qu’une Dame du rang de Salomé se mit à danser de manière aussi lascive devant une telle assemblée…
Saint Jean-Baptiste comme Jésus symbolisait la Lumière, les feux en l’honneur du Soleil leur furent donc désormais consacrés.

ORIGINES PAIENNES DES FETES CATHOLIQUES: BELTAINE – L’ASCENSION

Beltaine qui se fête la nuit du 30 avril au 1°mai, signifie Feu de Bel, Bel ou Belenos, don Belissama est la parèdre, est le Brillant, dieu celte du Soleil et du Feu.
Les Druides allumaient des feux entre lesquels on faisait passer le bétail pour le prévenir des épidémies, Bel étant également le Dieu de la Médecine, ou on sautait à travers la fumée pour se purifier et s’attirer la chance.
On célébrait surtout la Hiérogamie, l’union de deux divinités, car à Beltaine, le Dieu devenu Homme s’éprend de la Déesse qui tombe enceinte de Lui, c’est la célébration des nouvelles vies à venir. Le Soleil devenu plus vigoureux donne sa puissance à la Terre et déjà les premières fleurs apparaissent, fleurs que l’on s’offrait, mutuellement, ancêtre de la tradition actuelle du brin de muguet.
Les animaux se reproduisent, et l’homme retourne chasser…la prétentaine notamment.
Des danses s’exécutaient autour d’un arbre décoré, l’arbre de mai qui donnera plus tard les mâts des villages, décorés de guirlandes de fleurs, et de rubans, symbole phallique dressé représentant la puissance retrouvée du Dieu Solaire.
Une Dame de Mai était élue pour représenter la Déesse Mère, et parfois une hiérogamie symbolique ou réelle avait lieu.

Les Floralies, fêtes en l’honneur de Flora, la Déesse romaine de la végétation et des fleurs, voyaient leur apogée arriver le 1°mai. Planter un arbre fruitier était le sacrifice que réclamait la Déesse (planter un arbre en sacrifice ! quelle horreur ! ne peuvent-ils pas égorger des animaux comme tout le monde ou boire du vin en lieu et place du sang de leur sauveur!)
On jetait des graines, des fleurs, des représentations théâtrales et des jeux du cirque été donnés en son honneur, le dernier jour avaient d’ailleurs lieu les vénations, représentation de chasse aux animaux dans l’enceinte du cirque. Venus, Déesse de l’Amour et de l’Erotisme été également honorée comme il se doit à cette occasion.
Un peu avant la deuxième quinzaine de mai, dans le Monde Romain, le Pater Familias se purifiait les mains à l’eau courante et jetait derrière lui neuf fèves noires sensées apaiser l’appétit des lémures pour cette fête en l’honneur des ancêtres nommée Lemuria.

Pour les Chrétiens, quarante jours après Pâques, mais toujours un jeudi, l’Eglise célèbre l’Ascension, du Latin ascensio, monter. Bien entendu, comme Pâques est une fête mobile, l’Ascension ne correspond pas tout à fait au premier mai, mais comme Pâques se substitue à Ostara…
Après une dernière recommandation aux Apôtres de répandre la bonne nouvelle de la résurrection aux Hommes, Jésus s’éleva dans le Ciel et alla s’asseoir à la droite de son père.
C’est ce que commémore cette fête instaurée dès le V°siècle.

ORIGINES PAIENNES DES FETES CATHOLIQUES: OSTARA - PAQUES


Ostara est le nom de la Déesse germanique de la fertilité, elle symbolise également le lever du Soleil, ost signifiant Est, point où le Soleil se lève. Les Saxons l’appelait Eastre, east signifiant également Est, Déesse de qui les Anglo-Saxons tire le nom de leur fête de Pâques, Easter, pendant laquelle les Œufs sont ramenés non pas par des cloches, mais par un Lapin qui étrangement rappelle le Lièvre, animal totem d’Ostara ; la boucle est bouclée.
Ostara se fête la nuit du 21 mars, pendant l’Equinoxe de printemps. L’Equinoxe, du latin aequinoctium, de aequus, égal et nox, la nuit, précise qu’à cet instant de l’année la durée du jour est égale à celle de la nuit.
Retour du Printemps et renouveau tangible de la Nature, Ostara célèbre la Terre qui se réveille et la renaissance du Dieu devenu Homme, prêt à tout ensemencer, ainsi que la Fertilité de la Déesse.
Les Romains célébraient Proserpine, la Perséphone des Grecs, qui était une nymphe enlevée par Pluton, Dieu des Enfers. Sa mère, Cérès, déesse de la Terre, de chagrin sema la désolation sur Terre, car plus rien n’y poussait. Par l’intersession de Jupiter, elle obtint de Pluton la libération de sa fille pour six mois, délai après lequel elle retournerait sous Terre. Ainsi donc, Cérès réveille la Nature chaque fois que sa fille lui est rendue.
Avant d’aller plus loin, il faut d’emblée distinguer les Pâques catholiques de la Pâque juive, cette distinction est plus marquée en Anglais qui parle d’Easter et de Pass Over, littéralement, « passer au-delà ».
La fête juive de Pessar, traduisible par passage, qui a lieu le 15 nissan, mois des épis à cheval entre nos mois de mars et d’avril, commémore la dixième plaie d’Egypte par laquelle le « Dieu Bon » fit exterminer tous les enfants mâles premiers nés Egyptiens. L’Ange exterminateur devait passer au-delà des maisons aux linteaux desquels été peinte une marque avec le sang d’un agneau sacrifié, signe distinctif de protection donné aux Juifs par Yahvé par l’intermédiaire de Moïse.
Les Juifs en garde seulement le fait qu’après le massacre, ils purent quitter leur condition d’esclave et partir d’Egypte, Pessar étant pour eux synonyme de Liberté, alors qu’il s’agit en fait du meurtre de centaines d’enfants innocents !
Pour les chrétiens, Pâques a lieu le premier dimanche après la Pleine Lune qui suit l’Equinoxe de Printemps.
Le mot vient du grec pasxa, prononcer pas(h)a en inspirant-roulant le h, qui donne en Latin Pascha. Les Orthodoxes attachent plus d’importance à Pâques qu’à Noël que préfèrent les Catholiques.
Pâques c’est entre autre la Cène, le dernier repas de Jésus et de ses disciples, pendant lequel il instituera l’Eucharistie, puis la mort, le vendredi saint et la résurrection du Christ trois jours plus tard.
Jésus sacrifié pour nous libérer de nos « péchés », reprend le mythe de l’agneau sacrifié par les Juifs pour sauver leurs fils aînés. L’agnus paschalis, l’agneau de pâques passe ainsi d’une religion à l’autre.

ORIGINES PAIENNES DES FETES CATHOLIQUES: IMBOLC – CHANDELEUR

Imbolc, qui se fête dans la nuit du 1° au 2 février, viendrait de im, in et de bolc, belly, signifiant littéralement « dans le ventre », parfois également traduit par lactation ou par lait des brebis, car ces dernières ont leurs petits à cette période, est une fête dédiée à la Déesse Mère qui se remet peu à peu des efforts consentis à la naissance du Dieu à Yule.
La Déesse Mère, qui redevient vierge, et le jeune Dieu Solaire sortent du Monde des Ombres libérés par l’Homme Noir, dont il sera question plus tard : c’est le retour de la Lumière.
Période de purification et de lustrations, les prémices du printemps se font sentir, on prépare et bénit les semailles, des petites galettes rondes à base de céréales rappelant le disque solaire sont consommées.

Les Romains célébraient les Lupercales, fêtes en l’honneur de Lupercus, de lupus le loup, époux de la Louve, mère adoptive de Romulus et de Remus.
Les Adeptes de ce Culte se déguisaient de peaux de loups, en portant des masques, puis ils tournaient autour des champs avec des flambeaux pour en éloigner les loups et protéger les troupeaux, ainsi que pour favoriser la fécondité de la Terre.
Ils déambulaient aussi dans la ville courant après les jolies jeunes femmes, les flagellant de lanières de peaux de chèvres pour leur garantir la fertilité.
Cette fête qui se situait autour du quinze, a quand même surtout été remplacée par la Saint Valentin, nous en retiendrons toutefois l’idée des déguisements et des déambulations dans les rues, d’où vient sûrement le Carnaval, de l’Italien carne, viande et levare, ôter, qui commence souvent à la Chandeleur, et annonce le Carême et ses privations.
La fête que les familles Romaines, qui conservaient les masques mortuaires de leurs ancêtres, respectaient sous l’égide du Pater Familias, était les Parentalia, pendant laquelle ils brûlaient une candela, torche faite de papyrus ou de corde utilisée surtout aux enterrements, en l’honneur de leurs ancêtres, car rappelons le, dans le Monde Antique, tout le monde allait aux Enfers. Les Parentalia avaient lieu en février, les Lemuria en mai.
Tous les cinq ans, avaient également lieu les lustratio populi, purifications du peuple, pendant lesquels on tournait autour de la ville avec torches et flambeaux pour la purifier ainsi que ses habitants.
Les torches sont remplacées par les chandelles dans les églises, d’où la Chandeleur.

Les Catholiques y célèbrent la présentation de Marie au Temple, ou les relevailles de Marie.
La Loi de Moïse prévoit qu’une femme est impure pendant les sept jours qui suivent la naissance d’un garçon, la circoncision ayant lieu le huitième, bizarrement, il n’existe pas de fête du 2 janvier pour célébrer la circoncision de Jésus qui est Juif rappelons le quand même...
La purification dure encore trente trois jours de plus. Bien entendu, pour une fille, la femme est impure pendant les quatorze premiers jours, deux fois plus longtemps et donc la purification prend donc soixante six jours !
Pendant toute cette période, elle ne peut se rendre dans aucun lieu sacré, ces quarante jours terminés, La « Vierge » Marie se rendit donc au Temple où Siméon prédit l’avenir de son enfant, lumière du Monde.
Le pape Gélase I°, celui qui réussit à rétablir face à l’empereur byzantin Anastase l’autorité des papes devant l’autorité des empereurs, substitua en 472 la Fête des Flambeaux, par Hypapante, qui signifie « ce qui vient au devant », pour commémorer la rencontre de Jésus et de Siméon au Temple, observée surtout par les chrétiens d’Orient. C’est au VI° siècle que le pape Serge I instituera pour toute la chrétienté sous le nom de Festa Candelorum, la fête des chandelles, pour célébrer la Purification de la Vierge.

On retrouve donc bien une fois encore une similitude, pour faire simple, la convalescence d’une mère qui vient de mettre un enfant au monde.

ORIGINES PAIENNES DES FETES CATHOLIQUES: YULE – NOEL


Yule est un terme toujours usité pour désigner Noël en Norvège et au Danemark (Jul), en Suède et en Islande (Yul ou Jul), Noël qui vient du Latin natalis, la naissance, qui donne natale en italien, nadal en provençal, naal en vieux français, est le premier Sabbat de  l’année  païenne.
Une étymologie tirée de la langue gauloise noio, nouveau et hel, Soleil est parfois avancée.
Célébré la nuit du 21 au 22 décembre, Yule correspond au solstice d’hiver, nuit la plus longue de l’année, date à partir de laquelle donc les jours commencent à se rallonger.
Solstice vient quant à lui du Latin solstitium, de sol, soleil et sistere, s’arrêter, se tenir, pour désigner ces périodes en Eté et en Hiver pendant lesquelles le Soleil semble stationnaire avant de reprendre sa course vers l’Equateur.
Symboliquement, on aidait le Soleil à reprendre sa course, la Déesse Mère, qui réside alors dans le Monde des Ombres, engendre le jeune Dieu Solaire.
Les festivités duraient douze jours.
Une bûche de chêne, symbole de vigueur et de robustesse était bénie et brûlée en hommage au Soleil renaissant. Les restes de cette bûche servaient à allumer celle de l’année suivante.

Le Monde Romain célébrait également ses Saturnales, du 17 au 24 décembre, fêtes en l’honneur de Saturne, Dieu de l’Age d’Or, pendant lesquelles les maîtres tombaient la toge pour revêtir la tunique propre aux esclaves.
Période qui voit les barrières s’effacer et les rôles s’inverser, ancêtre des Fêtes des Fous du Moyen-âge, les Angeronalies du 21 était particulièrement consacrées à la Déesse Angerona, Déesse peu connue, représentée avec un bandeau sur les yeux et un doigt sur les lèvres apparentée au Monde des Morts et dont la particularité est de faire « traverser les jours ou les périodes étroites », mais surtout d’introduire le Soleil.
La similitude avec la Déesse Mère est frappante !
Dans les deux traditions, pendant cette période, les convives échangeaient des présents en gage de bonne fortune et d’espoir pour l’an à venir.
Le 22 décembre, pour les Sigillaires, les Romains offraient, surtout aux enfants, des petits objets, rappelons que sigillum signifie entre autre figurine, statuette, ancêtres de nos poupées ?
Puis, le 25 venait Brumalia, fête du « Sol Invictus », ou le Soleil Invincible, reprenant le pas sur la Nuit, était vénéré.
Nous rejoignons ici le Culte de Mithra, surnommé « Sol Invictus », qui naquit de manière magique « comme un arbre vert tiré d’un rocher » le 25 décembre, le Mithraïsme fera partie d’un point particulier.

Par quelle coïncidence Le Sauveur, Lumière et Nouvel Espoir du Monde est-il né au solstice d’hiver ? Nous l’avons déjà dit : les voies du Seigneur sont impénétrables…pas tant que ça peut être…

Il est un point important à remarquer.
Les premiers chrétiens et les apôtres ne célébraient pas la naissance de Jésus, aucun commandement, ou écrit du Nouveau Testament ne demande de le faire d’ailleurs.
Plus encore, ils ne fêtaient aucun anniversaire, tradition païenne par excellence pendant laquelle on célébrait un individu avec des bougies, lui offrant vœux et cadeaux pour le prémunir des mauvais esprits.
Les Grecs pensaient qu’un esprit protecteur était attribué à chacun lors de sa naissance pour le protéger toute sa vie durant.
L’Esprit, ou le génie, est appelé Daîmon en Grec, sans connotation péjorative, mot qui a donné Démon dans notre langue, le fameux Démon de Socrate le guida toute sa vie !
Genius est le terme latin équivalent, car les Romains quant à eux, croyaient que l’individu était placé sous la protection du dieu du jour.
Fêter un anniversaire revenait pour les premiers chrétiens, et ce jusqu’au IV° siècle après Jésus Christ, à célébrer le Démon ou l’Esprit protecteur !
Si pour les chrétiens des quatre premiers siècles fêter un anniversaire est une aberration, il n’en reste pas moins que Jésus est né le 25 décembre, me dira-t-on.
Cette date n’est certes pas mentionnée dans les Ecritures, mais des indications peuvent nous renseigner, que disent-elles en fait ?
Pour commencer, rappelons qu’il était de coutume chez les juifs d’alors de sortir leurs troupeaux vers la Pâques, au début du Printemps, les bergers gardant continuellement leurs troupeaux à l’extérieur, ne les rentrant à l’étable qu’au mois de Heshvan de leur calendrier lunaire, le  huitième mois, correspondant plus ou moins à notre mois d’octobre, période des premières pluies en Palestine qui se situent entre octobre et novembre.
Or, dans Luc, chapitre deux, verset huit, il est écrit qu’au moment de la naissance de Jésus : « il y avait dans la même contrée des bergers qui couchaient aux champs, et qui gardaient leurs troupeaux pendant les veilles de la nuit. »…et bien entendu, ceux-ci dormaient à l’extérieur, au cœur de l’hiver sous la pluie !
Jésus n’est pas né le 25 décembre, mais très certainement en Automne !

Je souhaiterais développer certains symboles de cette fête peut-être la plus célèbre du monde chrétien avec Pâques, en commençant par faire une parenthèse au sujet de la Déesse Ashera, plusieurs fois citée dans la Bible.
Ashera est à l’origine une déesse cananéenne, les Cananéens sont les ancêtres des Juifs. Déesse Mère de la fertilité, femme de El, qu’elle trompe avec Baal.
Elle était invoquée pendant la naissance des enfants et lors des plantations. L’Arbre lui était consacré car on lui attribuait la création de l’Arbre de Vie, et on la célébrait en dansant autour d’un arbre entouré sur le sol de bougies, décoré d’or et d’argent, de rubans, de figurines d’animaux.
Un arbre, un cocu, cela me rappelle quelque chose…
Quoiqu’il en soit, le Deutéronome précise au chapitre seize, verset vingt et un : « Tu ne te planteras point d'emblème d'Ashera, aucun arbre, auprès de l'autel que tu dresseras à l'Éternel ton Dieu ».
Même s’il est dans le salon, est pas à côté de l’Autel, l’Arbre de Noël n’est pas un symbole en odeur de sainteté chez les pairs des Chrétiens.
Les Celtes attribuaient un arbre à chaque mois de leur calendrier lunaire, bien qu’aucune source archéologique fiable ne le précise vraiment, il est admis que l’Epicéa était dédié au Solstice d’Hiver, Ailm, durant ce treizième mois de Ruis, le Sureau.
Cet arbre toujours vert était alors décoré entre autre de nos boules de noël.

Pour en finir, même si cela nous éloigne un peu du but premier de notre sujet, parlons tout de même du Père Noël, produit d’importation made in USA, appelé là-bas Santa Klaus, issu du Sint Niklaus des immigrés néerlandophones des premiers temps, « notre » Saint Nicolas, Saint Patron des enfants qui, entre autres miracles aurait ressuscité trois enfants.
Fêté surtout en Belgique, aux Pays-Bas, en Belgique et dans le Nord de la France, le 6 décembre, jour de sa mort en 343, à l’origine, il était vêtu de vert, mais un publicitaire de la compagnie Coca-Cola est passé par là, Monsieur Haddon Sundblom, en 1931, et Santa Klaus n’avait plus qu’à attendre Karl Marx...

Wicca

vendredi 9 avril 2010

Comment connaître et communiquer avec notre guide ?


« La meilleure façon de connaître votre guide est de faire le silence en soi, au travers d'une méditation et d'écouter et vous serez fort surpris d'entendre une guidance . Vous penserez d'abord que cela vient de vous, mais plus vous vous habituerez, plus vous comprendrez que cette guidance vient de l'extérieur ou de l'intérieur de vous, mais qu'elle ne fait pas partie de votre personnalité.

Vous reconnaîtrez cette guidance quand, après avoir fait un petit temps de méditation et de vide mental, la réponse à une question posée mentalement viendra d'une façon très rapide, instantanée, sans que vous n'ayez eu le temps de réfléchir. La réponse pourra vous parvenir au travers d'un symbole, d'une image que vous pourrez percevoir, au travers d'un son ou par télépathie.

Posez la question qui vous tourmente et attendez. La réponse ne vous parviendra peut-être pas la première fois, ni la deuxième ou la troisième, vous devrez vous montrer opiniâtre.

C'est un processus que vous reconnaîtrez après avoir travaillé, bien évidemment, surtout travaillé au niveau de vos pensées, au niveau du vide dans votre mental. Vous ne pourrez rien recevoir si vous ne faites pas le silence dans vos pensées, c'est pour cela que nous vous disons que la méditation est très, très importante, comme la prière, car vous allez vivre des moments bien perturbés, des grandes turbulences, et il sera nécessaire que pendant ces moments-là vous ayez une guidance personnelle.

Vous pourrez aussi avoir des réponses dans vos rêves, car les rêves ont une grande importance et sont aussi une guidance pour les hommes de la terre. Surtout ne vous précipitez pas, n'essayez pas de devenir canal parce que c'est dans la « mode » actuelle.

Nous savons que lorsque le moment sera venu vous rentrerez très facilement en contact avec votre guide personnelle. Nous vous déconseillons d'aller voir des personnes qui peuvent rentrer en contact avec vos guides car de cette façon vous n'évoluerez pas ; vous devez être très vigilant car lorsque ces personnes ne sont pas préparées, lorsqu'elles n'ont pas atteint un certains niveau de conscience, même si ce sont des médiums ou des canaux, elles peuvent capter des plans inférieurs qui la guideront d'une façon négative, qui s'amuseront aussi parfois à ses dépens et surtout à vos dépens.

C'est vous qui devez apprendre à entrer en contact avec votre guide. Si vous vous trouvez tout seul et si vous avez besoin d'une guidance, vous ne pourrez pas avoir l'aide d'une personne extérieure ; il faut donc que vous appreniez à vous débrouiller tout seul, car devant telle ou telle circonstance de la vie, vous verrez à quel point l'aide d'une guidance intérieure est précieuse.

Nous vous certifions que si vous faites un travail suffisant sur vous-même vous y arriverez, car la guidance est en chacun d'entre vous, mais il y a trop de bruits en vous pour que vous puissiez l'entendre.

Apprenez le calme intérieur, le silence intérieur . Le silence extérieur est facile, le silence intérieur est beaucoup plus difficile. Apprenez-le, ce sera nécessaire pour continuer votre chemin dans de bonnes conditions, que ce soit au travers de ce que nous vous disons ou au travers d'un cheminement au travers d'une religion ou d'une philosophie. Le silence intérieur est nécessaire pour une très bonne approche spirituelle et pour une très bonne approche du développement personnel. "

……

Quelle différence y a-t-il entre faire appel à nos guides ou à nos anges gardiens ?

« Il n'y a aucune différence. Vous faites simplement appel et l'appel ira où il doit aller, c'est à dire vers l'entité qui vous guide, qui vous aide.

S'il est plus facile pour vous de prier en dirigeant vos prières vers le Père, vers Jésus, vers la Vierge, vers les anges gardiens, vers les Etres de Lumière, cela n'a aucune importance. L'important est d'émettre un désir, une prière, de se connecter avec la dimension où se trouvent tous ceux qui vous aident. Soyez certains que la prière ira ou elle doit aller et sera exaucée en fonction de la sincérité de votre demande.

Peu importe qui vous solliciterez pour cette prière, peu importe le nom. Les noms sont des limites et maintenant vous devez fonctionner sans limites, les noms sont des freins et vous devez enlever tous les freins. »

...

Avons-nous un ou plusieurs guides spirituels et comment pouvons-nous entrer en contact avec eux?

"Lorsque vous venez sur ce monde, un ou deux guides, mais souvent deux, vous sont attribués pour toute votre existence dans ce monde. S'ajoutent à eux d'autres guides qui seront pour vous des enseignants en fonction d'un travail spécifique qui est le vôtre. Ces derniers peuvent changer en fonction de votre évolution et du travail que vous devez accomplir.

Pour vous aider, il y a aussi près de vous, chaque fois qu'ils le peuvent, les êtres chers qui sont partis de ce monde qui vous aident avec tout leur Amour pour vous montrer la route, pour vous aider sur votre chemin.

Il faut que vous sachiez que vous n'êtes jamais seul, il faut simplement demander leur aide. Lorsque vous demandez de l'aide à vos guides spirituels, ne le faites pas le mental complètement rempli de votre souffrance, de vos problèmes, de mille et une pensées. Essayez de vous mettre en méditation ou en prière et construisez le pont qui vous relie à eux.

Lorsque vous aurez pris conscience du Soi Divin qui sommeille intérieur de vous-même, vous n'aurez plus besoin d'aucun guide, car le guide le plus sûr que vous puissiez avoir, c'est votre Soi Divin.

Cependant, tant que vous n'avez pas la capacité de cheminer jusqu'à lui, il est plus facile pour vous de demander l'aide de vos guides.

Plus vous avancerez, plus vous solliciterez votre être intérieur. Vous ne l'avez pas encore suffisamment éveillé. Bien sûr chez certains êtres il est beaucoup plus éveillé que pour d'autres. Le Soi Divin est relié au Père, puisque c'est là que siège la particule de Dieu.

Alors, pourquoi demander à vos guides alors que vous pouvez tout demander au Père qui siège en vous ? Plus vous avancerez sur le chemin, plus vous apprendrez à demander à votre partie divine qui ne vous trompera jamais. »

………..

Y a-t-il une différence entre les anges et les Etres de Lumière, ou est-ce la même chose ?

«Il y a une différence. Les anges ne se sont jamais incarnés sur votre monde. Ils font partie d'une hiérarchie qui n'a jamais pris corps physique.

Les Etres de Lumière tels que nous connaissent parfaitement la vie sur votre monde, car ils ont pris corps physique il y a des éons, et c'est pour cela qu'ils vous comprennent beaucoup mieux et qu'ils peuvent vous aider davantage. Ils connaissent votre souffrance, ils connaissent vos angoisses, ils connaissent vos désirs car ils les ont vécus.

Il y a une hiérarchie très importante dans l'Univers. Pour certains, nous sommes des anges et cela n'a pas beaucoup d'importance. Il ne faut pas trop vous attacher aux noms qui nous sont donnés, l'important est de savoir que vous n'êtes pas seul dans votre cheminement sur ce monde, que vous êtes aidé, que des guides vous sont attribués à votre naissance, et que vous avez aussi des guides qui viennent vous aider à accomplir votre mission. »

………..

Est-ce que nous pouvons identifier nos guides et comment faire pour les remercier de leur aide ?

« Vous pouvez les identifier grâce à leur énergie. Vous les sentirez et vous serez certain de leur présence qui est très subtile. Il n'y a pas une méthode particulière, car les méthodes qu'on pourrait vous donner ne seraient pas adaptées et seraient parfois erronées.

Vous pouvez entendre dire que vos guides s'identifient au travers d'un nom. D'autres entités‚ qui ne sont pas forcément vos guides, peuvent se faire passer pour eux, c'est pour cette raison que vous devez apprendre à les ressentir au travers de leur énergie.

Pour les remercier c'est facile, envoyez-lui tout simplement de l'Amour, ayez conscience de son aide, c'est le plus grand remerciement que vous pourrez lui donner. »

………

"Voici un exercice qui vous permettra d'entrer en contact avec votre guide.

Essayez de vous installer du mieux possible sur votre siège et essayez d'oublier votre corps.

Visualisez votre mental. Votre mental est une grande pièce remplie de vos pensées. Ces pensées tournent en permanence dans cette pièce qui est fermée. Vous allez ouvrir les portes et les fenêtres de cette pièce afin que toutes ces pensées s'évadent, s'échappent, et à leur place faites pénétrer une magnifique lumière dorée.

Sentez-vous merveilleusement bien chez vous. La pièce est propre, elle est nette. Plus aucune pensée ne vient vous perturber.

Dans cette pièce installez deux sièges, un sur lequel vous vous asseyez confortablement et un autre pour votre guide.

Invitez-le à prendre place. Essayez de vous visualiser confortablement assis sur votre siège. Vous ne ressentez aucune gêne, aucune douleur, et votre guide est en face de vous. Vous le voyez, le ressentez avec votre cœur.

Cet Etre de Lumière est face à vous et vous prend les mains. Vous commencez à échanger au niveau de votre âme, puisqu'il n'y a aucune pensée. Petit à petit, ressentez son immense Amour.

Faites silence dans votre mental pendant quelques instants pour recevoir le message qu'il veut vous transmettre. Il y a dans la pièce où vous vous trouvez tous les deux suffisamment de puissance, suffisamment d'énergie pour que vous receviez le message de votre guide.

Si des pensées veulent entrer dans votre pièce, projetez sur elles la lumière dorée, et focalisez toute votre attention sur votre guide, sur cet Etre de Lumière qui est assis en face de vous et qui tient vos mains dans les siennes. La connexion se fait et vous ressentez de plus en plus sa présence.



Vous avez toujours la conscience que votre guide est en face de vous, qu'il vous prend les mains. Reliez-vous maintenant à lui au-travers de votre centre de force entre les deux yeux par un faisceau de lumière qui ira rejoindre la tête de votre guide. Ce faisceau de lumière va éveiller davantage vos possibilités de communication, de télépathie. Essayez de former ce faisceau de lumière entre lui et vous.



Focalisez votre conscience sur votre guide et pendant quelques instants essayez d'entamer un petit dialogue avec lui. Posez-lui une question et attendez la réponse.

Restez quelques instants dans la conscience de cette relation privilégiée. Plus tard, lorsque vous aurez réellement pris conscience de la présence de votre guide, vous pourrez ajouter d'autres sièges dans cette pièce pour convier d'autres guides (parce que certaines personnes ont plusieurs guides), et vous pourrez aussi accueillir vos frères des hiérarchies. Vous serez étonné de voir qui vous accueillerez et du résultat de cet échange.

Cette technique a aussi pour but de développer en vous cette faculté de communication qu'est la télépathie. Mais sachez que vous ne pourrez rien faire si vous n'avez pas au préalable bien nettoyé cette pièce. S'il y a encore des pensées qui s'infiltrent, qui entrent à nouveau par les portes et les fenêtres, la communication peut être faussée."



"Lors de vos méditations, refaites cet exercice. Avant toute demande de communication avec votre guide, nettoyez le lieu où vous l'accueillerez, et ce lieu se trouvez au niveau de votre mental puisque la communication télépathique se fait à ce niveau-là.

Plus tard, lorsque vous aurez compris, lorsque vous aurez pu mettre en application certaines de vos possibilités, vous communiquerez aussi avec le cœur.

Pour faciliter la connexion avec votre guide, vous pouvez vous-même lui donner un nom auquel il répondra, car pour faciliter la tâche des humains il faut un repère. Vous pouvez donc choisir ce repère, vous pouvez l'appeler d'un nom humain ou « Etre de Lumière » ou « Guide bien-aimé », peu importe.

Nous vous demandons d'être vigilant car il peut aussi y avoir la possibilité que des êtres s'invitent et que vous ayez des communications avec certains plans avec lesquels vous n'avez rien à faire. A vous de les reconnaître et à vous de les chasser.

Dans ce travail de communication, il faudra que vous appreniez le discernement et la vigilance pour ne pas vous faire abuser par une entité de l'astral qui pourrait se faire passer pour votre guide.

Pendant vos méditations, appelez toujours à vous la Lumière Christique, et vivez-la . »

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Auteur : Monique Mathieu
Site http://ducielalaterre.org/fichiers/
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Le Secret de l’Oignon

En 1919,  lorsque la grippe a tué 40 millions  de personnes, un médecin visitait des  nombreux agriculteurs pour voir s'il pouvait  les aider à lutter contre la grippe.  Beaucoup d'agriculteurs et leurs familles l'avait  attrapée et beaucoup étaient morts.

Le  médecin arriva dans  une exploitation agricole  où, à sa grande  surprise, tout le monde était en parfaite santé. Lorsqu’il demanda ce qu'ils faisaient de différent des autres, la femme dit qu'elle avait mis un oignon non pelé dans une assiette dans chaque chambre de la maison.

Le médecin ne  la crut pas. Il lui demanda s’il  pouvait avoir un des oignons qu’elle  avait utilisé pour l’observer au microscope. Elle lui en donna  un. Le médecin trouva le virus de la  grippe dans l’oignon.

De toute évidence  l’oignon avait absorbé la bactérie et  permis à la famille de rester en bonne santé.


J’ai entendu cette  même histoire chez ma coiffeuse. Quelques  années auparavant un certain nombre de  ses clients avaient attrapé la grippe. Il avaient tous  été malades.L’année suivante  elle avait mis plusieurs assiettes avec  des oignons dans son salon et à  sa grande surprise aucune personne de son équipe  ne fut malade.

J’ai envoyé  cette information à une amie dans l’Oregon,  qui travaille régulièrement avec moi sur  des questions de santé. Elle me raconta  une expérience intéressante avec les oignons.

Je ne  connais pas l’histoire des agriculteurs,  mais j’ai contracté une pneumonie qui  m’a rendue très malade. J’ai lu un  article qui disait de couper les deux  extrémités d’un oignon, de le piquer  avec une fourchette à une extrémité  et de le poser sur un assiette près du malade toute la nuit. Il précisait que l’oignon noircirait le lendemain par les germes. J’ai fait comme c’était dit. L’oignon était dans un triste état le lendemain et moi je me sentais beaucoup mieux.

Cet article disait  aussi que les oignons et les ails  placés dans les chambres dans le passé  avaient protégé les gens contre la peste  noire. Tous les deux  ont de puissantes  propriétés antibactérienne et antiseptique.

La morale de cette  histoire est : achetez quelques oignon,  placez les dans
des assiettes sans les peler un peu partout dans la maison. Si vous travaillez dans un bureau mettez en un ou deux dans votre espace de travail.


L’oignon  vous aidera, vous et vos proches à  ne pas tomber malade.
Et si vous attrapez la grippe, elle sera moins forte...

Il n’y  a pas grand chose à perdre à essayer  !

Seulement  1 euros d’oignon !!!

Référé par Sylvaine Bonin

Épidémie de carence en vitamine D, supplémentation en vitamine D3 et taux sanguin optimal de 25 (OH) D

(Source : Recu par courriel) - Merci à Nathalie Roussy dont on peut consulter le site ici


Depuis quelques années, la recherche très active au sujet de la vitamine D tend à démontrer un nombre de plus en plus élevé de ses bienfaits sur la santé en général. Étant donné qu’il est reconnu maintenant que la carence en vitamine D constitue une pandémie affectant les pays nordiques, l’enjeu de la connaissance scientifique sur cette question est donc crucial pour la santé publique.

En mars 2010, une équipe de chercheurs japonais a pu faire publier les résultats de leur recherche clinique sur la vitamine D et l’influenza, dans la revue American Journal of clinical nutrition. Il s’agissait d’une étude expérimentale à double insu avec placebo, avec un triage au hasard des participants âgés de 6 à 15 ans. Les participants du groupe expérimental ont pris 1200 IU de supplément de vitamine D3 durant trois mois. On a observé, au terme de la recherche clinique, 50% de réduction de grippe chez les enfants sans asthme. On a pu également, chez les enfants asthmatiques, observer une diminution des crises d’asthme.


Mais la protection que semble offrir la vitamine D va bien au-delà de la protection contre l’influenza. On reconnait de plus en plus un lien entre un bas taux de vitamine d sanguin, mesuré avec le test 25 (OH) D, et différentes maladies, telles que le cancer, le diabète, les maladies du cœur, la parodontite et les maladies auto-immunes. Ce que l’évidence scientifique tend à démontrer est l’incroyable capacité de la vitamine D à assurer un bon fonctionnement du système immunitaire.


Le taux optimal de vitamine D sanguin

Les découvertes scientifiques sur les vertus de la vitamine D pour le système immunitaire sont très récentes. Pour l’instant, le consensus qui se dessine est la recommandation de maintenir le taux de vitamine D, mesuré par le test 25 (OH) D à, au minimum, 30 ng/ml (75 nmol/l). On considère qu’il y a carence à un taux de moins de 20 ng/ml et qu’il y a insuffisance pour un taux se situant entre 20 et 30 ng/ml. Pour ce qui est du taux toxique, on fait mention de 100 ng/ml à 150 ng/ml, selon les sources. Mais entre le taux toxique et le taux minimum acceptable se trouve forcément le taux optimal. Qu’en disent les quelques spécialistes qui s’aventurent sur la question ?

Le Dr John Cannell, chercheur sur la vitamine D mondialement connu, auteur de plusieurs articles scientifiques publiés dans des revues, et directeur de l’organisme Vitamin D Council, considère que 50-80 ng/ml de 25 (OH) D est le taux optimal de vitamine d sanguin.

Selon le Dr Joseph Mercola, auteur de The Dark deception, livre traitant du sujet l’épidémie de carence en vitamine D, le taux optimal de 25 (OH) D est de 50-70 ng/ml.

Quant au Dr Reinhold Viet, éminent spécialiste mondialement reconnu sur la vitamine d, il affirme qu’il n’existe aucune preuve de toxicité reliée à une concentration de 25 (OH) D plus élevée que 56 ng/ml, sauf pour les cas rares d’hypersensibilité à la vitamine D. De plus, il mentionne que les personnes habitant dans des régions ensoleillées et se retrouvant souvent à l’extérieur, comme c’est le cas pour les sauveteurs, se retrouvent avec des taux sanguins allant jusqu’à 90 ng/ml.

Intoxication à la vitamine D

Dr. Vieth a affirmé qu’il existe peu d’évidence derrière la crainte répandue d’intoxication à la vitamine d avec une supplémentation modérée. Il mentionne que les études montrant des effets toxiques, comme l’hypercalcémie, ont toutes utilisé des doses de vitamine D au moins égales à 40 000 UI/jour. Par ailleurs, deux études pilotes récentes qui ont impliqué des femmes qui allaitaient et qui prenaient des doses de 6400 IU de vitamine d quotidiennement n’ont démontré aucune preuve d’intoxication. De plus, leur bébé ont vu leur taux sanguin de 25 (OH) D passer en moyenne de 13 ng/ml à 45 ng/ml.

Également, d’après des échantillons de tests de 25 (OH) D de plus de 5000 Canadiens, aucun participant n’affichait une concentration supérieure au taux toxique de 375 nmol/L (150 ng/ml).

La moyenne nationale canadienne de vitamine d sanguin

Lancée par Statistique Canada en 2007 en partenariat avec Santé Canada et l’Agence de la santé publique du Canada, l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS) a permis de recueillir des mesures physiques directes de la santé et du bien être auprès d’un échantillon de Canadiens représentatif de la population nationale. Il s’agit de l’enquête comprenant des mesures directes de la santé la plus complète jamais entreprise au Canada à l’échelle nationale. Selon cette vaste étude, la moyenne canadienne de 25 (OH) D, tous les mois de l’année confondus, était de 27 ng/ml (67 nmol/l). Près de 70% affichaient un taux inférieur à 30 ng/ml durant la période de novembre à mars, soit le taux minimum recommandé par consensus scientifique. Pour la période d’avril à octobre, ce pourcentage était de 61.4%. 10 % des Canadiens avait une concentration considérée par le gouvernement comme inadéquate pour la santé des os (moins de 15 ng/ml). Chez 4% de lapopulation, on a détecté un taux de moins de 11 ng/ml.

Des résultats similaires à ceux de l’étude lancée par Statistiques Canada ont été retrouvés par le Dr Viet et ses associés dans une étude corrélationnelle menée auprès de femmes canadiennes. Ils ont de plus trouvé que 26% des femmes qui n’étaient ni noires ni blanches présentaient un taux de 25 (OH) D inférieur à 16 ng/ml. Dans le cas des femmes blanches, ce pourcentage était de 15%.

Comment atteindre un taux sanguin optimal de 25 (OH) D avec la supplémentation


Le Dr Viet et ses associés ont trouvé que ni la consommation de lait, ni la supplémentation en vitamine D selon les recommandations gouvernementales canadiennes, ne prévenait les insuffisances en vitamine D.2 Ils sont arrivés à la conclusion que les recommandations de Santé Canada sont insuffisantes pour les besoins des Canadiennes. Une personne qui s’expose aux rayons UVB du soleil, durant les mois d’été, en maillot de bain, sans crème solaire, peut produire entre 10 000 et 20000 IU de vitamine d. Une telle exposition solaire, à la fréquence de trois fois par semaine, en maillot de bain, permet de produire au moins 30 000 IU de vitamine d par semaine, soit une moyenne de 4300 IU par jour. Pourquoi cette personne ne pourrait-elle pas continuer à bénéficier de ce 4300 IU par jour de vitamine D durant l’hiver, en prenant cette fois-ci des suppléments, puisque notre corps peut produire naturellement de telles grandes quantités sous l’effet des rayons UVB ? Qu’arrive-t-il au taux sanguin de vitamine D d’une personne qui consomme quotidiennement 4000 IU de vitamine D par jour durant les mois d’hiver ?

Selon les données présentées par Carol L. Wagner et associés, dans un article de la revue Pediatrics de novembre 2008, pour chaque 40 IU de supplément de vitamine D quotidien qui est consommé durant 4-5 mois, le taux de 25 (OH)D augmentera de 0.28 ng/ml. Ce qui signifie qu’avec la recommandation en supplémentation de vitamine D la plus audacieuse que la plupart des organisations gouvernementales puissent émettre, soit celle de 1000 IU par jour, le taux sanguin de 25 (OH)D d’une personne pourra augmenter de 7 ng/ml en 4-5 mois. Dans le cas d’une personne qui consomme 4000 IU, elle verra son taux de 25 (OH)D augmenter de 28 ng/ml. Si on considère la moyenne canadienne de 25 (OH) D de 27 ng/ml, tous les mois confondus (n’oublions pas que le taux moyen d’hiver de 25 (OH) D est plus faible que le taux moyen annuel), on peut évaluer qu’un adulte moyen se retrouvera, en prenant quotidiennement 4000 IU de vitamine D, avec un taux sanguin de 25 (OH) D de 55 ng/ml, taux optimal selon le Dr Cannell. Pour 10% des Canadiens, présentant un taux de 25 (OH) D inférieur à 15 ng/ml, une telle prise de suppléments en vitamine D3 de 4000 IU par jour durant les mois d’hiver ferait en sorte de faire passer leur niveau sanguin de vitamine D pouvant aller jusqu’à un maximum de 43 ng/ml (encore sous optimal selon le Dr. Cannell).

Conclusion

L’évidence scientifique ne va pas dans le sens d’un risque élevé d’intoxication par la supplémentation quotidienne, durant les mois d’hiver, avec 1000 IU de vitamine D3 par 25 livres de poids corporel. Cette recommandation a été faite par Dr. Cannell et ses associés, dans une étude publiée dans la revue Annals of Otology, Rhinology And Laryngology, en 2008. Au contraire, le risque provient de ne pas tenir compte de l’épidémie de carence en vitamine D au Canada, ainsi que dans les pays nordiques, et des conséquences qui en découlent sur la santé publique et la santé des individus. De plus, un simple test de 25 (OH) D permet justement d’ajuster la dose en fonction des besoins individuels. En effet, il existe plusieurs facteurs pouvant influencer le taux de 25 (oh) D et les besoins individuels en supplémentation de vitamine D3, dont la couleur de la peau, le poids, la saison, l’exposition aux rayons UVB naturels ou artificiels, l’état de santé et l’âge. Étant donné la prévalence très élevée de niveaux sous optimaux de 25 (OH) D parmi les populations des pays nordiques, tel que le Canada, il serait souhaitable qu’un nombre plus élevé de personnes passent le test 25 (OH) D, après avoir pris un supplément de vitamine D3 durant plusieurs semaines ou plusieurs mois. Il serait recommandé d’ajuster la supplémentation à la baisse ou à la hausse le cas échéant, et de repasser un test, jusqu’à ce qu’on retrouve un niveau de 25 (OH) D optimal. Cette manière de procéder a le mérite d’être à la fois sécuritaire et adaptée aux besoins de chaque individu. Elle tient la promesse d’une atteinte des niveaux sanguins souhaités, en plus de permettre la cessation des spéculations sur la quantité de suppléments en vitamine D qui doit être prise.  
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RÉFÉRENCES


1 Carol L. Wagner, MD, Frank R. Greer, et al. Prevention of Rickets and Vitamin D Deficiency in Infants, Children, and Adolescents Pediatrics. Vol. 122 No. 5 November 2008, pp. 1142-1152 doi:10.1542/peds.2008-1862
2 Vieth R, Cole DE, et al. Wintertime vitamin D insufficiency is common in young Canadian women, and their vitamin D intake does not prevent it. Mount Sinai Hospital, Toronto, Canada. Eur J Clin Nutr. 2001 Dec ;55(12):1091
3 Mitsuyoshi Urashima, Takaaki Segawa, et al. Randomized trial of vitamin D supplementation to prevent seasonal influenza A in schoolchildren Am J Clin Nutr (March 10, 2010). doi:10.3945/ajcn.2009.29094
4 Michael F. Holick5. The Vitamin D Epidemic and its Health Consequences.
J. Nutr. 135:2739S-2748S, November 2005
5 Dr John Cannell. Site web Vitamin D Council. http://www.vitamindcouncil.org/
  6 Cannell John J., Vieth Reinhold et al . Cod liver oil, vitamin A Toxicity, Frequent Respiratory Infections, and the Vitamin D Deficiency Epidemic. Annals of Otology, Rhinology And Laryngology, 2008,. 117 (11) : 864-870
7 Joan M Lappe, Dianne Travers-Gustafson, K Michael Davies, Robert R Recker, and Robert P Heaney. Vitamin D and calcium supplementation reduces cancer risk : results of a randomized trial Am J Clin Nutr 2007 ;85:1586 –91
8 Dr Mercola. Test Values and Treatment for Vitamin D Deficiency. 23 février 2002 http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2002/02/23/vitamin-d-deficiency-part-one.aspx
9 Reinhold Vieth Vitamin D supplementation, 25-hydroxyvitamin D concentrations, and safety. American Journal of Clinical Nutrition, Vol. 69, No. 5, 842-856, May 1999
10 Thierry Souccar. Vitamine D : le nouveau scandale sanitaire. Mai 2007. La Nutrition.fr http://www.anamacap.fr/telechargement/alimentation/vitamined2.pdf
11 Kellie Langlois, Linda Greene-Finestone et al. Les niveaux de vitamine D chez les Canadiens selon les résultats de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé, 2007–2009. Statistiques Canada
12 Pittas AG, Lau J, et al. The role of vitamin D and calcium in type 2 diabetes. A systematic review and meta-analysis. J Clin Endocrinol Metab. 2007 Jun ;92(6):2017-29.
13 Cantorna MT, Mahon BD. Mounting evidence for vitamin D as an environmental factor affecting autoimmune disease prevalence. Exp Biol Med (Maywood). 2004 Dec ;229(11):1136-42
14 Holick MF, Chen TC. Vitamin D deficiency : a worldwide problem with health consequences. Am J Clin Nutr 2008 ; 87 (4) : 1086S

mercredi 7 avril 2010

Questionnaire: Quel païen êtes-vous?

 
Quel paien etes-vous ?
**** Merci de faire suivre ce questionnaire a toute personne susceptible d’y repondre
Avec nos excuses pour les doublons inévitables ****
Voici une sorte de questionnaire auquel il vous est possible de repondre assez facilement. Il vous donne aussi des espaces pour vous exprimer librement.
Le questionnaire comporte une deuxieme partie de questions sur votre insertion sociale. Elles sont evidemment secondaires : zappez les tranquillement si elles vous deplaisent.
**** Notez que nous avons omis les accents pour eviter les incompatibilites entre differents systemes de gestion de vos ordinateur. ****
Ces donnees seront rendues publiques mais les noms, adresses mail des participants, details personnels de chacun seront confidentiels et connus de la seule personne a qui vous aurez repondu. Elle s’engage a ne pas les communiquer et ce sous aucun pretexte.
***
Comment envoyer votre reponse ?
Envoyez votre reponse a runesxx@free.fr en faisant un copié-collé ce questionnaire et de preference en l’incluant dans l’email : evitez d’utiliser un fichier joint, merci.
***
1. Vous sentez-vous païen ? (effacez la mention inutile) /  oui / non /
2.            Si oui de quel paganisme vous sentez vous le plus proche ? / (effacer les paganismes que vous ne sentez pas proches de vous)  wicca / druidisant / nordisant-germanisant / khemitisme / hellenisme / latinisme / animisme / bouddhisme/ religions orientales autres que bouddhisme / autre (dans ce cas, ecrivez le nom de la religion que vous considerez comme votre) /
3.            Si non vous sentez-vous ? /  chretien / rationaliste / athee / autre (precisez) /
4. Avez-vous le sentiment d’avoir garde une certaine tendresse pour la religion de vos ancetres immediats (parents, grands parents)?  / ? oui / non / ne sais pas /
5. Pensez-vous que certaines des regles morales qui inspirent votre conduite viennent de l’heritage de vos ancetres immediats ? Si oui , lesquelles ? /  oui, de leur heritage / oui, de mon opposition a leur heritage / non /
6. Considerez-vous que le paganisme se definisse par une absence de regles dogmatiques en matiere de religion ?  / oui / non /
7. (presque la meme que 6, mais avec une grosse nuance) L’absence d’Eglises organisees vous seduit-elle dans le paganisme ? / oui / non /
8. Considerez-vous que seules des religions pre-chretiennes peuvent être païennes ? (repondre non implique de s’opposer a certaines versions des definitions des dictionnaires classiques. N’hesitez pas !)  / oui / non /
9. Qu’est-ce qui vous semble faire la difference fondamentale entre un païen et un non païen ? Effacer les proprietes qui ne vous semblent pas fondamentales – vous pouvez en laisser plusieurs, ou aucune. Si vous en laissez plusieurs, s’il vous plaît, ajoutez un chiffre indiquant leur ordre d’importance pour vous (1 exprime la plus grande importance).
/ le fait de rejeter les religions revelees /
/ le fait de croire en plusieurs Dieux (= polytheisme)/
/ le respect de la nature /
/ l’ecologie religieuse (politique ou non) /
/ l’attachement a la terre de vos ancetres /
/ l’absence de contraintes comme dans 5 et 6) /
/ la tolerance vis-a-vis des autres religions  /
/ le respect pour les autres religions non-païennes /
/ le retour a des croyances anciennes /
/ le retour aux croyances de vos ancetres lointains /
/ la nature des mythes et legendes associes a votre religion païenne /
/ l’acceptation de phenomenes inexplicables par la science, comme la magie /
/ les regles d’une moralite differente /
10. Pensez-vous que cette liste soit mal redigee ou incomplete ? Si oui, faites ici des propositions :
11. Considerez-vous que le paganisme soit porteur d’une ethique, de regles morales particulieres ? / oui / non / .
12. Existe-t-il un probleme de societe qui ait un lien quelconque avec votre paganisme (a titre de simple exemple : l’egalite hommes/femmes, l’homosexualite, le rechauffement de la planete, le chomage etc.) ? Si oui, précisez quel probleme / oui / non /
13. Existe-t-il des problemes philosophiques, autre qu’ethiques, qui soient relies a votre paganisme (par exemple, qu’est-ce que la ‘realite’, le role des humains sur la terre, etc.) / oui / non / Si vous le desirez, precisez et expliquez votre position :
14. La region dans laquelle vous vivez a-t-elle un lien avec votre paganisme ? / oui / non / Si vous le desirez, precisez et expliquez votre position :
*** Questions les moins personnelles possibles sur votre position sociale ***
Il est clair qu’il tout a fait possible de repondre aux questions 1-14 sans repondre aux question a-d, ci-dessous.
a. Dans quelle tranche d’age vous trouvez-vous ? / moins de 30 ans / entre 30 et 60 ans / plus de 60 ans
b. Quel est votre sexe selon l’etat civil ? feminin / masculin
c. Quel type de role social jouez-vous  (au sens large) ?  medical au sens large (toute personne apportant de l’aide a des malades ou des handicapes) / enseignement-recherche (y compris les personnes sans emploi officiel mais qui elevent ou ont eleve des enfants) / relationnel (en gros : le ‘tertiaire’) / administration (y compris les militaires) / employe-ouvrier-cadre / artistique / agriculture-peche-elevage / sans emploi (a votre avis)
d. Si vous avez repondu ‘sans emploi’ indiquez soit votre ancien metier, soit celui que vous recherchez. Etes-vous ? /  pensionne / chomeur / autre / mon ancien metier est : / je desire un nouveau metier qui est: /

mardi 6 avril 2010

Wicca

 (Source)

La wicca est une religion païenne dans le sens qu’elle est polythéiste et qu’on y vénère la nature. Étant donné qu’il s’agit d’une vieille religion qui est toujours pratiquée de nos jours, on peut également la qualifier de néo-païenne. Elle tire ses origines du paganisme d’avant l’ère chrétienne, il s’agit d’un mélange de traditions païennes d’Europe et d’occultisme des 19e et 20e siècles. Son fonctionnement actuel a sûrement été établi dans les années 1930 ou 1940. Ce point fait toutefois l’objet d’un débat interne et externe considérable. Le sujet le plus souvent débattu est le nombre exact de traditions provenant des traditions anciennes, et dans quelle mesure la wicca peut être considérée comme une religion moderne. Il existe plusieurs traditions dans la wicca, et certaines d’entre elles ont engendré d’autres « confessions » ou sortes de wicca. En général, toutefois, la wicca peut être définie par quelques préceptes.
Dans la wicca, on honore plusieurs dieux et de déesses. Certains adeptes peuvent qualifier la religion de panthéiste en ce sens que ses dieux et déesses se manifestent dans des éléments de la nature et en font partie. Certains wiccans croient que les dieux et les déesses sont simplement différentes manifestations d’un seul dieu et d’une seule déesse qui, ensemble, constituent l’essence du monde naturel. En général, on accorde la même importance aux dieux et aux déesses.
La wicca est une religion mystique, ce qui signifie que la foi individuelle est influencée par des expériences religieuses qui inculquent une connaissance ou des vérités religieuses de façons ne pouvant être entièrement comprises par celui ou celle qui les reçoit. Le terme « mystique » suppose également qu’on y pratique des rites secrets qui peuvent apporter un état de sérénité personnelle. Les rituels secrets et les serments prêtés peuvent approfondir la compréhension spirituelle des wiccans et font partie intégrante de leur tradition.
Les wiccans font preuve de dévotion religieuse en assistant à des réunions avec leur couvent, en pratiquant des rituels de groupe et de la magie. Au sens wiccan, la magie est une forme de prière que les adeptes utilisent afin de demander aux dieux et aux déesses de la nature de leur accorder le pouvoir de faire quelque chose en particulier. Les wiccans croient que le recours à la magie augmentera les chances de réussite d’une action qui sera ou qui a déjà été entreprise avec ou sans intervention divine.
La réincarnation est une croyance répandue chez les wiccans. Certains croient que le temps entre deux vies se déroule dans un endroit appelé Summerland. Étant donné que les traditions de la wicca sont également influencées par d’autres traditions, telles les anciennes traditions nordiques et celtiques, ainsi que celles du bouddhisme et de l’hindouisme, la vision de la vie après la mort de chaque groupe est influencée par celle dont celui-ci tire ses racines.

ÉLÉMENTS RELIGIEUX

Textes sacrés et doctrines

  • Charge of the Goddess : ce texte parfois utilisé par les adeptes de la wicca aborde la nature de la déesse.
  • Legend of the Descent of the Goddess : ce texte traite de l’équilibre et de l’interaction entre la vie et la mort; on ne l’utilise pas aussi souvent que Charge of the Goddess.
  • Book of Shadows : on utilise le Book of Shadows afin d’y consigner des sorts, des recettes, des pensées, des rêves, des expériences, les détails de rituels et d’autres éléments qui peuvent être utiles pour soi. Par conséquent, chaque Book of Shadows est unique et personnel. Les renseignements qui y sont contenus peuvent être partagés, et les éléments d’un Book of Shadow personnel peuvent être utilisés afin d’adopter une nouvelle tradition de la wicca.
  • On peut faire référence à d’autres oeuvres classiques, par exemple, le Livre des morts égyptien ou des oeuvres écrites par des Grecs ou des Romains et par des philosophes de l’Antiquité.

Rituels

  • Wiccaning : la dénomination et la bénédiction des enfants.
  • La dédicace : une déclaration publique d’engagement envers les dieux et les déesses.
  • Les fiançailles : un engagement officiel qui se conclut par un mariage un an plus tard.
  • Le mariage : une cérémonie de mariage pendant laquelle les mains de la mariée et du marié sont liées ensemble.
  • La séparation : une rupture des engagements pris au moment du mariage; c’est à ce moment que l’on divise les biens et que l’on décide de la garde des enfants.
  • First Blood [Premières règles] : un rite accompli par les femmes de la communauté lorsqu’une fille a ses premières règles.
  • Rite of Manhood [Rituel de l’âge viril] : un rite accompli par les hommes d’une communauté lorsque la voix d’un garçon mue ou qu’il commence à avoir de la barbe.
  • Trimesters [Trimestres] : une bénédiction de grossesse accomplie par les femmes de la communauté à chaque trimestre d’une grossesse; la cérémonie est dirigée par une prêtresse qui a déjà eu un enfant.
  • Passing the Veil [Passage du voile] : un service funèbre
  • Neophyting : reconnaissance de l’appel d’un étudiant à la prêtrise.
  • L’initiation : admission à la prêtrise wicanne.
  • Le bain de l’alliance : un bain de purification qui prépare le corps à entrer dans le cercle sacré; on utilise des herbes ou des huiles et c’est une période de méditation en ce qui concerne l’objet du rituel.
  • Le cercle sacré : formé avant de commencer un rituel afin de s’assurer qu’on utilise un espace purifié et sacré. Avec une épée, une canne ou un bâton, on fait le tour de l’espace sacré, qui n’est pas toujours formé au même endroit.
  • Le balayage : on utilise des balais afin de nettoyer le cercle pour les dieux et les déesses.
  • La purification élémentaire : on apporte les éléments terre, air, feu et eau dans le cercle afin d’enterrer, d’éteindre, de brûler ou de laver la présence de tout esprit indésirable.
  • L’évocation élémentaire : on évoque les quatre éléments afin qu’ils protègent le cercle pendant le rituel. Après cela, on appelle dans le cercle une divinité en particulier ou des dieux et des déesses, et leur présence est fonction de l’objet du rituel.
  • La bénédiction du vin : on célèbre l’union du dieu (représenté par la lame d’une dague) et de la déesse (représentée par le calice rempli de vin) ainsi que la création de l’univers. La bénédiction obtenue lorsqu’on trempe la dague dans le calice est partagée par tous ceux qui boivent le vin.
  • La bénédiction du gâteau : l’on récite une courte prière afin de demander aux dieux et aux déesses de bénir des gâteaux en forme de croissant de lune avant de les consommer.
  • La libation : un mélange des restes du vin et des gâteaux est offert aux dieux et aux déesses afin qu’ils puissent en tirer de la force.
  • La montée d’énergie : on chante, on danse ou on participe à d’autres activités en l’honneur des divinités invitées dans le cercle.
  • La clôture du cercle : on remercie les dieux et les déesses et les gardiens élémentaires à la fin du rituel du cercle sacré.

Code de moralité

  • Le Rede wiccan « Si cela ne fait de mal à personne, fais comme bon te semble » : cela signifie qu’un wiccan devrait réfléchir avant d’agir et examiner les conséquences pour les autres.
  • La Threefold Law « Ce que tu envoies te sera redonné en triple » : un geste rapportera en triple à celui ou à celle qui le pose les bons ou les mauvais karmas, selon que le geste est positif ou négatif.

Lieux de culte

  • En général, les wiccans préfèrent célébrer le culte dehors, mais peuvent utiliser un endroit désigné à l’intérieur, que l’on appelle temple, afin de former le cercle et de se réunir pour des cours.
  • À l’extérieur, l’espace réservé au culte peut être différent chaque fois. Ainsi, lors de chaque réunion de wiccans, on consacre le cercle en suivant le processus susmentionné, et il devient le lieu de culte. Le terrain peut être situé dans une forêt, sur un terrain de camping, dans un parc ou sur des terres privées.

Pratiques et offices religieux

  • En général, les cours sont offerts une fois par semaine, et les réunions ont lieu le dimanche soir.
  • Au Canada, pendant l’hiver, les réunions ont lieu à l’intérieur. Pendant les mois plus chauds, les réunions se font à l’extérieur dans des régions désignées par le grand prêtre ou la grande prêtresse.

Organisation et gestion du clergé

  • La wicca n’a aucune autorité principale ni structure centralisée.
  • La structure interne et l’importance en nombre de chaque groupe wiccan ou couvent sont variables.
  • Certaines traditions particulières de la wicca peuvent définir un rôle de dirigeant pour le groupe alorsque d’autres n’ont aucun concept particulier.
  • Le grand prêtre ou la grande prêtresse dirigeles réunions.
  • Le grand prêtre ou la grande prêtresse est ordonné(e) et cela peut prendre plusieurs années.

Propagation de la foi

  • Les wiccans croient que chaque personne doit trouver sa propre voie spirituelle; ils ne professent donc pas que leur propre religion est nécessairement la plus appropriée.

CÉLÉBRATIONS ET FÊTES IMPORTANTES

Les dates auxquelles on célèbre ces événements peuvent varier d’une année à l’autre selon les calendriers lunaires et d’autres influences..

Jours d’observance réguliers

  • Les participants, selon les différentes traditions wiccannes, peuvent se rencontrer à différents moments, mais en général, les classes ont lieu une fois par semaine, et le culte est célébré chaque dimanche soir. De temps en temps, il peut correspondre au cycle lunaire.

Fêtes spéciales

  • Yule : une célébration du solstice d’hiver, au moment où les jours allongent car le soleil renaît. On décore un arbre de « Noël » avec des fruits afin que les dieux puissent accorder un été fructueux. On participe à un festin rituel au cours duquel on peut servir du chevreuil, de l’oie, du gâteau aux fruits et des poudings, des noix, du vin épicé et du cidre chaud.
  • Imbolc : une fête du feu et de la lumière, qui a lieu habituellement le 2 février. On peut brûler des poupées de maïs en offrandes au soleil. Les aliments rituels sont des viandes salées, du pain, des conserves de fruits et du vin rouge.
  • Ostara : on célèbre l’équinoxe du printemps. Les aliments rituels sont la volaille, des pains parsemés de graines, des crêpes et du vin blanc.
  • Beltane : on célèbre le jour de l’union du dieu Soleil et de la déesse Terre qui a produit une récolte fructueuse. En général, la célébration a lieu le 30 avril et on peut effectuer des danses du mât ainsi que prendre part à un repas rituel constitué d’oeufs, de lapin et de vin aromatisé avec de l’aspérule odorante.
  • Litha : a lieu au solstice d’été lorsque le soleil est à son apogée; il s’agit de la journée la plus longue de l’année. On pourra y déguster des baies, du veau, des légumes de la nouvelle récolte et du vin au miel.
  • Lammas : c’est la célébration de la première récolte de grains; elle a lieu en général le 2 août. On rend hommage au dieu du Maïs et on récolte le maïs. Les pains de maïs, les bleuets, les fruits de mer et la bière sont des aliments appropriés pour la fête.
  • Mabon : un festival de la récolte célébré pendant l’équinoxe d’automne. C’est le moment où l’on fabrique du vin et du cidre. Le repas servi est composé de pommes, de gibier à plumes, de poires et de bière.
  • Samhain : la fête des morts, célébrée le 31 octobre. On rend hommage à l’esprit des personnes décédées au cours de la dernière année en offrant un repas auquel elles sont conviées. Les aliments servis habituellement au cours de ce repas sont du porc, du pain, des plantes à tubercules comestibles et du vin rouge. On n’utilise aucun sel pour la préparation des aliments, en fait, on ne consomme pas de sel du tout.

CODE VESTIMENTAIRE

  • Les wiccans peuvent porter un talisman sacré, en général, il s’agit d’un pentagramme.
  • Chaque couvent peut avoir son propre symbole ou talisman qui ne doit être touché par personne d’autre que son détenteur, qui ne doit jamais l’enlever.
  • Pendant le culte, on peut porter une robe et une ceinture de corde tressée.
  • Les wiccans évitent en général les couleurs vives au moment du culte.
  • Certains couvents peuvent choisir de célébrer le culte dans la nudité.

CODE ALIMENTAIRE

  • Étant donné que chaque wiccan peut choisir différents dieux et déesses, les obligations alimentaires peuvent être différentes. Par exemple, quelqu’un qui vénère un dieu protecteur des animaux peut être végétarien.
  • En général, aucun aliment n’est défendu.

CODE EN MATIÈRE DE SOINS MÉDICAUX ET DE SANTÉ

  • Aucun précisé

DÉCÈS ET FUNÉRAILLES

  • En général, les wiccans suivent les coutumes locales.