samedi 20 février 2010

Les découvertes de Théodore Schwenk sur l’eau

(Source : techno-science, amazon.com (+commentaires traduits), etc. Images viennent d’articles en anglais ici, ici et ici.)




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Schwenk
Theodor Schwenk (1910-1986) est né en Allemagne, près de Stuttgart. Très jeune, il s’initie à la technique auprès de son père, professeur de physique. A 18 ans, il se passionne pour l’astronomie. Il obtient un diplôme d’ingénieur en hydraulique. Puis il occupe un poste de chercheur en mécanique des fluides à Göttingen. Il travaille alors pour différents laboratoires pharmaceutiques sur les propriétés des hautes dilutions. Dans les années 50, il met au point la méthode dite des " gouttes sensibles ", qui permet de déceler la qualité des eaux. En 1959, il fonde l’Institut pour les Sciences des Fluides à Herrischried en Forêt-noire. Son principal ouvrage, le Chaos sensible, paru en 1962, a été unanimement salué comme la première monographie phénoménologique de l’eau et de l’air. Cette étude a contribué à éveiller une nouvelle conscience écologique chez beaucoup de nos contemporains.
Table des matières
Les mouvements essentiels de l’eau
L’eau, l’organe sensoriel de la terre
L’eau transmet à la terre les ordonnances cosmiques
Les eaux façonnent la surface de la terre
Trois qualités essentielles de l’eau
Eaux du ciel et barques des dieux
L’être spirituel de l’eau
Eau et air
L’eau dans l’enveloppe aérienne de la terre
L’air
Le Verbe cosmique créateur
Théodore et Wolfram Schwenk éveillent nos esprits aux nombreuses dimensions de l’eau - certaines jamais imaginées auparavant. Par exemple - la Lune fait réellement vibrer l’eau des corps sur Terre et produit des tonalités musicales - créant ainsi une mélodie symphonique de sons. Nous apprenons aussi comment le mot "rythme" trouve son origine dans le verbe grec signifiant "couler." Par ailleurs, il y a une section qui porte sur le "Rôle de l’Eau dans la Symphonie du Temps qu’il fait" ainsi que dans les catastrophes météorologiques - en d’autres termes - ce livre est en avance sur son temps ! Dans une optique théologique - ce livre écrit par les formidables Schwenk & Schwenk (père et fils) étudie l’importance spirituelle et religieuse de l’eau - et le potentiel de l’eau à servir comme une entité pour résoudre les défis d’aujourd’hui. Si vous êtes intéressé par l’eau - ce livre transformera pour toujours votre perception de ce liquide mystérieux - liquide inconnu porteur de toute vie qui s’élève jusqu’à nos propres pensées et perceptions de cette réalité qui est temporairement la notre.





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Le livre de Schwenk, Water, The Element of Life, demeure de nombreuses années après sa publication, toujours l’un des meilleurs livres écrit sur la relation de l’homme avec le monde de l’eau. J’irais jusqu’à dire que tous les responsables de la gestion de l’eau ainsi que ceux qui étudient l’eau devraient le lire pour son message éthique - lequel a pour objet comment se relier au cœur même de la vie. En effet, dans mon propre travail récent, Deep Immersion : The Experience of Water (nominé 1er livre sur l’environnement de l’année), seul Thoreau est plus souvent cité que Schwenk !
"Le flux de l’eau relie en permanence la vie et la mort. C’est le médiateur entre les deux, et sa surface fournit une frontière commune à leur rencontre dans la nature. La mort y est là continuellement surmontée."
C’est le mouvement vivant de l’eau qui permet à la vie d’exister sur Terre. Fondé sur la science spirituelle et sur ses nombreuses expériences, personnelles, Théodore et Wolfram Schwenk montrent que la terre est un organisme vivant et que l’eau est son organe des sens, qui perçoit les influences cosmiques vitales et les transmettent à la vie terrestre.
L’approche des auteurs à la crise de l’eau et la crise environnementale va au-delà des réponses axées "problème-solution" ou "pansement" ; elle suggère le besoin d’une compréhension nouvelle et radicale de l’eau, une conscience révolutionnaire que nous devons atteindre si nous voulons que la terre reste en vie.
"Au cours de cette étude, nous avons essayé de faire comprendre qu’à travers la multiplicité des phénomènes de la nature, transparaît un "être" ou une essence. Nous avons essayé de montrer (...) que des formes se créent dans l’eau comme dans l’air, mais que ce sont des mouvements qui les engendrent. Ces mouvements émanent d’une essence spirituelle, réelle, qui descend du monde ordonné des astres, et qui prend corps dans les formes stables de notre monde terrestre, par le détour des mouvements de l’eau et de l’air. A tous les degrés de cette descente, le mouvement en soi est toujours un instrument dont le spirituel se sert pour agir dans les éléments."





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Jsf : Dans le livre de l’alchimiste Armand Barbault, dans L’or du millième matin, nous lisons :

Étudiant les problèmes de l’eau, qui est sans doute le fluide le plus complexe et le plus paradoxal offert au physicien, Theodor Schwenk part de cette idée que les surfaces internes qui se forment au sein de l’eau en mouvement ne sont pas autre chose que le lien d’insertion des forces éthériques ou cosmiques, et que l’étude de ces surfaces donne ainsi de précieux renseignements sur la capacité d’une eau donnée à recevoir et dispenser ces forces. Si l’on veut par conséquence étudier la "valeur" d’une eau, il suffit de photographier les "formes" complexes qu’une goutte de cette eau donne en tombant dans un milieu liquide de référence. Plus une eau est chargée en énergie cosmique, plus les formes qu’elle donne sont riches et harmonieuses. [Raymond Abellio, Préface, p.21]
"Le professeur Theodor Schwenk appartient lui aussi au mouvement anthroposophique. Sous le titre Formes produites par l’eau en mouvement, il a récemment publié un ouvrage passionnant sur une méthode de vérification de la qualité des eaux. L’idée directrice de ce test avait déjà été énoncée par le même auteur dans un précédent ouvrage intitulé Le Chaos sensible : les surfaces internes (filets ou glissements) qui se forment au sein de l’eau en mouvement constituent de véritables organes sensoriels, les lieux d’insertion, de perception, de captage où l’eau reçoit les forces éthériques et cosmiques.

Jsf : à rapprocher peut-être des travaux de Schauberger et notamment son dynamiseur ?


"L’eau est porteuse du cycle qui contient toute vie. Dans chaque goutte d’eau habite une divinité que nous servons tous, dans chaque goutte d’eau habite la vie, l’âme de la substance première - l’eau". Viktor Schauberger
Voir également cette vidéo qui mentionne Schwenk et Schauberger - ci-dessous.

Partant de ce principe, il est clair qu’une eau polluée, qui par là même aura perdu la capacité de former des surfaces internes convenables, sera inapte à recevoir ces forces. Ce sera une eau morte, au contraire des eaux de source naturelle qui se trouveront posséder une réceptivité maximale.
Le professeur Theodor Schwenk a dès lors imaginé une méthode lui permettant de photographier ces surfaces internes. Pour cela il fait tomber une goutte de pluie dans de l’eau pure de référence additionnée d’un peu de glycérine, et un système optique approprié permet de photographier les formes produites par la chute de la goutte à différents moments de leur développement. L’expérience montre que la richesse et la beauté de ces formes est en rapport direct avec la qualité de l’eau étudiée. D’une façon générale, une eau polluée - et même l’eau morte qu’un livre d’ordinaire à la consommation des villes - ne donne que des images informes et pauvres, tandis qu’une eau de qualité, biologiquement saine, fait apparaitre des sortes de fleurs harmonieuses aux nombreux pétales. J’ai soumis mon élixir à ce test. (...)
Cette méthode est d’une extrême sensibilité, et peut déjà servir pour vérifier la constance de l’élixir quant à sa richesse en forces cosmiques. Mais le professeur Schwenk constate aussi des différences en liaison avec les aspects célestes, par exemple les éclipses, (...)
On se reportera utilement au livre du professeur Schwenk pour y constater sur les exemples qu’il donne la différence qu’il peut y avoir, dans la richesse et la beauté des images, entre une eau vivante et une eau morte. [Armand Barbault, p.172, 1979]





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Jsf : Enfin, une anecdote que rapporte Taisha Abelar, dans Le passage des sorciers :

"[Clara] m’ordonna de placer mes pieds dans le cours d’eau, et de sentir les petits galets sur le fond. L’eau, glacée, me fit frissonner involontairement.
"Fais des rotations des chevilles, suggéra-t-elle. Laisse l’eau vive emporter ta fatigue."
Après quelques minutes de cet exercice, je me sentis rafraîchie, mais les pieds presque gelés.
"Maintenant, essaie de sentir toute ta tension descendre dans tes pieds, tu te débarrasseras également du froid."
Je continuai à battre l’eau avec mes pieds jusqu’à ce qu’ils deviennent gourds.
"Je ne crois pas que ça marche, Clara, dis-je, en sortant mes pieds de l’eau.
C’est parce que tu ne diriges pas la tension hors de toi, dit-elle.
L’eau vive emporte toujours la fatigue, le froid, la maladie et tous les maux, mais, pour que cela soit possible, il faut l’intention. Sinon, tu pourras battre des pieds dans l’eau jusqu’à assécher le courant sans résultat.
"

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