samedi 11 janvier 2014

Monoculture: How One Story Is Changing Everything [Paperback]

Winner of the 2011 NCTE George Orwell Award for outstanding contributions to the critical analysis of public discourse. One of The Atlantic's Top 11 Philosophy/Psychology Books of 2011 As human beings, we've always told stories: stories about who we are, where we come from, and where we're going. Now imagine that one of those stories is taking over the others, narrowing our diversity and creating a monoculture. Because of the rise of the economic story, six areas of your world - your work, your relationships with others and the environment, your community, your physical and spiritual health, your education, and your creativity - are changing, or have already changed, in subtle and not-so-subtle ways. And because how you think shapes how you act, the monoculture isn't just changing your mind - it's changing your life. "I found myself reading non-stop, underlining like crazy...an astute explanation about what I've been feeling recently, something I couldn't put my finger on...[Michaels] writes in clear, energetic prose that's thoughtful, engaging and unforced. She defines and analyzes without judgment or insistence...a breath of fresh air..." - NPR Ohio "...a singularly brilliant and accessible analysis of some of the fundamental assumptions and driving principles of our time." - Comment Magazine "...a single lucid narrative that's bound to first make you somewhat uncomfortable and insecure, then give you the kind of pause from which you can step back and move forward with more autonomy, authenticity and mindfulness than ever." - The Atlantic "5 stars: The cause and effect of our world is more surprising than you'd think. With intriguing notions about the driving ideas of stories in every shape of our life, "Monoculture" is an incredibly fascinating way about how the mind works and today's consumer culture." - Midwest Book Review "If you just read one book this year, read this one." - BuriedInPrint blog "A smart and realistic guide to first recognizing the monoculture and the challenges of transcending its limitations." - BrainPickings.org "A thin, enrapturing gem. It's accessible, sensible--exactly the sort of book that should have (and still could + should!) take off and create a tiny little dent in books." - Kenyon Review

vendredi 10 janvier 2014

Consternation après la fermeture de bibliothèques scientifiques au Canada

Méchante marde.
"Et de fait, depuis le printemps dernier, au moins 7 des 11 bibliothèques de son ministère ont été fermées, dans un quasi-anonymat.

Le gouvernement fédéral a pris cette "décision idéologique" car il est conscient que "le Canadien moyen n'attache que peu d'importance" aux questions maritimes, affirme Jeff Hutchings, chercheur à l'université Dalhousie d'Halifax."

http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/01/10/fermeture-bibliotheques-scientifique-canada-consternation_n_4572983.html?utm_hp_ref=canada-quebec

mercredi 4 décembre 2013

lundi 18 novembre 2013

De la drogue dans nos assiettes


De la drogue dans nos assiettes [Infrarouge... par Les-Films-Docu

les origines de la bûche de noël

 
En France, et dans de nombreux pays d'Europe, il n'y a pas de repas de Noël sans bûche de noël.

Comme de nombreuses coutumes de la période de fin d'année, la bûche de noël tire très probablement ses origines d'un des rites païens liés à la célébration du solstice d'hiver. En ce qui concerne notre bûche, on parle beaucoup de la fête du feu (feu d'Yule), fête qui aurait été "adaptée" par les premiers Chrétiens (peut-être à l'origine de la Ste Luce ou Lucie ?).
Quoi qu'il en soit, à l'approche de la période la plus rude de l'hiver, il semble naturel de mettre en valeur le feu et le bois qui l'alimente, tous deux indissociables et garants d'un minimum de "confort".
Pendant plusieurs siècles, on a eu pour habitude, lors de la veillée de Noël, de faire brûler dans la cheminée une grosse bûche qui devait se consumer très lentement : durant au moins trois jours, si possible jusqu'au nouvel an et dans l'idéal jusqu'à l'Epiphanie ! C'était souvent l'occasion de rassembler tous les habitants de la maison (enfants, parents, grands-parents, domestiques) autour du foyer.
En Provence, la tradition voulait que ce soient le plus vieux et le plus jeune qui mettent la bûche dans le foyer !
 
La combustion de cette bûche et les rites associés étaient des gages d'une bonne année à venir :
  • on choisissait souvent un tronc d'arbre fruitier censé garantir une bonne récolte pour l'année suivante.
  • la bûche, qui devait être avoir été coupée avant le lever du soleil, était parfois décorée de feuillages et de rubans.
  • dans certaines régions, on plaçait autant de bûches dans la cheminée qu'il y avait de personnes dans la maison.
  • lors de l'allumage, la bûche était bénie à l'aide d'une branche de buis conservée depuis la fête des Rameaux.
  • lors de sa combustion, la bûche était, dans certaines régions, arrosée de vin afin d'assurer une bonne vendange ou de sel pour se protéger des mauvais sorts.
  • un feu avec beaucoup d'étincelles était la promesse de bonnes moissons pour l'été suivant.
  • on conservait souvent les cendres afin de préserver la maison de la foudre voire soigner certaines maladies.
 
L'évolution des moyens de chauffage et la disparition des grandes cheminées mettra progressivement fin à la coutume des bûches qui y étaient brûlées. Elle a parfois été remplacée par la présence dans la maison d'une petite bûche de bois décorée de bougies et de verdure et creusée pour contenir des friandises.La date de naissance du dessert qui a permis de continuer à célébrer symboliquement ce rituel varie selon les sources : certains évoquent sa création vers 1834 par un des ouvriers pâtissiers de La Vieille France à Paris, d'autres son invention vers 1945 par un pâtissier de la société Colibri et quelques-uns la tradition d'un "gâteau roulé de Noël" dans la région Poitou-Charentes depuis le 19ème siècle.


La tradition veut qu'une bûche de Noël soit réalisée à base de crème au beurre, mais depuis plusieurs années certains la préfèrent glacée ou "allégée" (avec peu ou pas de beurre). En ce qui nous concerne, nous sommes très traditionnalistes ! ;-)

samedi 16 novembre 2013

LYNX_-_Une_Femme_Hors_du_Temps


Sans Lendemain


Percutant et superbement réalisé, ce film d'animation questionne notre mode d'exploitation des énergies fossiles et des ressources naturelles, ses conséquences au niveau planétaire et l'impasse où nous mène notre modèle de croissance.