La mort s’embrume, victoire de la Lune
Etre vivant et vision nocturne
Elle m’attire dans le tragique
Démence onirique.
Le maléfice me tient sous sa volonté
Etend son emprise dans mes pleurs esseulés
L’égérie nocturne tend sa main diaphane
Vers le chemin des âmes.
Tous ces enchantements, je transcende
Mon être, en son sein, empli de cendres
Qui brûlent l’âpre de mon âme démente
Nature mal aimante
La lueur des rêves enfouis brise l’écorce
Et mes racines désertées de force.
Les branches se figent dans le froid
De l’étreinte glacée de ses doigts...
mercredi 6 janvier 2010
Stille Volk - Egérie Nocturne
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