Tourné dans 25 pays durant 5 ans, Samsara est un film documentaire au format non verbal réalisé par Ron Fricke et produit par Mark Magidson en 2013.
Samsara vient du sanskrit et signifie « ensemble de ce qui circule », « courant des renaissances successives ». Le terme évoque donc l’idée d’un cycle de la vie. Cette idée figure en toile de fond du documentaire à travers une succession de séquences qui sont autant de fragments d’instants mêlant monuments passés et modernité effrénée, prospérité et déclin, vie et mort ou encore paysages sublimes et zones sinistrées.
mardi 28 janvier 2014
Intétieur de maisons naturelles.
Non mais apres avoir vue ça je comprend pas si quelqu'un a encore le goût de murs en gyproc et tout carré.
This
is the bed-living room of a wattle (woven branches) and daub (clay and
straw) oak framed gatehouse that has stood the test of time for over 500
years. The gatehouse was built in around 1467 in Bolton Percy, England.
You can see this and other living rooms in naturally build homes at www.naturalhomes.org/natural-livingrooms.htm
samedi 25 janvier 2014
Moins c'est mieux
A la faveur de la crise, les opinions publiques prennent conscience d'un fait : l'explosion démographique, la crise énergétique ou encore le changement climatique posent de sérieuses questions qu'il ne faut plus remettre au lendemain. De plus en plus de personnes en sont convaincues : la croissance illimitée n'est pas viable à long terme dans un monde où les ressources s'épuisent peut à peu. Il s'avère en outre que l'augmentation du PIB dans les pays industrialisés n'a abouti à aucune amélioration notable de la qualité de vie depuis les années 70. Se pourrait-il alors que la société de consommation ne tienne pas ses promesses de bonheur et que le bien-être ne soit pas inhérent à la croissance ?
Nouvel ordre mondial - Le nouveau grand jeu
Après des siècles de domination navale des eaux du golfe persique, les grandes puissances occidentales font désormais face à la compétition de la Chine et de l'Inde qui arrivent dans la région affamés de ressources et dotées de portefeuilles bien garnis. Pendant ce temps, les habitants des pays arabes se soulèvent et renversent les régimes corrompus un après l'autre. Dans le sillage de ces soulèvements, un changement majeur semble se dessiner : nous assistons au lent démantèlement d'un vieil ordre mondial, alors que l'Occident ne dicte plus les règles comme auparavant.
jeudi 23 janvier 2014
Orvieto, la ville d'Italie où la lenteur est un état d'esprit
Un village comme ça ici où les gens se déplace à cheval ça serait super cool, avec un grand stationnement et une écurie à l'entré du village où les gens passeraient d'un mode de transport à un autre.
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Source: huffingtonpost
Qui n'a jamais rêvé secrètement de profiter tranquillement de la vie? De ne plus avoir de problème tous les matins dans les transports en commun. De pouvoir vivre dans une ville propre, agréable et moins poluéé. Impossible? Non, pas pour la petite ville médiévale d'Orvieto en Italie qui depuis 15 ans vit selon le mouvement Cittaslow.
Ce concept est inspiré du mouvement écolo-gastronomique Slow Food. Mis à part avoir repris le logo (un petit escargot), le mouvement s'est inspiré des grandes lignes de la philosophie Slow Food: "la lenteur est (...) une sorte de manifeste qui s'oppose au système de valeurs dominant et réaffirme l'importance d'autres dimensions de la vie au-delà du travail et de la productivité". En clair, la lenteur peut être essentielle au développement personnelle, au bien être et à la productivité.
Orvieto est une magnifique ville perchée sur un rocher en Ombrie (centre de l'Italie). 21 000 personnes s'y épanouissent et jouent le jeu de vivre lentement depuis plusieurs années.
Pour être admise dans la confrérie Slow, la ville a amélioré le tri de ces ordures, mis en place le "pedibus" (les enfants vont par groupe à l'école à pieds en suivant des itinéraires précis) et a encouragé chaque habitant à cultiver son propre potager afin de participer chaque semaine au marché local.
Les touristes affluent de partout pour découvrir cette ville hors du commun. Mais attention le maire est très clair sur ce point "les touristes sont priés de laisser leur voiture dans un parking hors des fortifications". L'accès en ville se fait par un ascenseur.
Pour le maire Antonio Concina, gérer une ville Slow n'a "rien de difficile, ni de bizarre". Ce dernier précise que les règles découlant du concept Cittaslow ne sont "ni obligatoires, ni terribles à respecter". Orvieto s'épanouit depuis des années grâce à son artisanat traditionnel. Chaque ville qui participe au mouvement est libre de concocter sa propre recette et de se fixer ses propres objectifs afin de faire de cette expérience l'intérêt de tous les habitants.
Un mouvement qui risque de prendre de l'ampleur et qui séduit ceux qui l'ont essayé. Pier Giorgio Oliveti, le directeur du mouvement, entend impliquer les grandes villes et prépare un projet en ce sens avec Barcelone. L'idée est de créer un "réseau d'îlots de culture Cittaslow à l'intérieur des grandes métropoles".
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Source: huffingtonpost
Qui n'a jamais rêvé secrètement de profiter tranquillement de la vie? De ne plus avoir de problème tous les matins dans les transports en commun. De pouvoir vivre dans une ville propre, agréable et moins poluéé. Impossible? Non, pas pour la petite ville médiévale d'Orvieto en Italie qui depuis 15 ans vit selon le mouvement Cittaslow.
Ce concept est inspiré du mouvement écolo-gastronomique Slow Food. Mis à part avoir repris le logo (un petit escargot), le mouvement s'est inspiré des grandes lignes de la philosophie Slow Food: "la lenteur est (...) une sorte de manifeste qui s'oppose au système de valeurs dominant et réaffirme l'importance d'autres dimensions de la vie au-delà du travail et de la productivité". En clair, la lenteur peut être essentielle au développement personnelle, au bien être et à la productivité.
Orvieto est une magnifique ville perchée sur un rocher en Ombrie (centre de l'Italie). 21 000 personnes s'y épanouissent et jouent le jeu de vivre lentement depuis plusieurs années.
Pour être admise dans la confrérie Slow, la ville a amélioré le tri de ces ordures, mis en place le "pedibus" (les enfants vont par groupe à l'école à pieds en suivant des itinéraires précis) et a encouragé chaque habitant à cultiver son propre potager afin de participer chaque semaine au marché local.
Les touristes affluent de partout pour découvrir cette ville hors du commun. Mais attention le maire est très clair sur ce point "les touristes sont priés de laisser leur voiture dans un parking hors des fortifications". L'accès en ville se fait par un ascenseur.
Pour le maire Antonio Concina, gérer une ville Slow n'a "rien de difficile, ni de bizarre". Ce dernier précise que les règles découlant du concept Cittaslow ne sont "ni obligatoires, ni terribles à respecter". Orvieto s'épanouit depuis des années grâce à son artisanat traditionnel. Chaque ville qui participe au mouvement est libre de concocter sa propre recette et de se fixer ses propres objectifs afin de faire de cette expérience l'intérêt de tous les habitants.
Un mouvement qui risque de prendre de l'ampleur et qui séduit ceux qui l'ont essayé. Pier Giorgio Oliveti, le directeur du mouvement, entend impliquer les grandes villes et prépare un projet en ce sens avec Barcelone. L'idée est de créer un "réseau d'îlots de culture Cittaslow à l'intérieur des grandes métropoles".
mercredi 22 janvier 2014
Comment en sommes-nous arrivés là?
SOURCE: Lapresse.ca
De l'État providence au service des citoyens, nous sommes passés à
l'État providence au service de l'entreprise privée. Pour attirer chez
lui ces grandes entreprises, quitte à alourdir sa dette, l'État leur
offre de généreuses subventions. Mais cela ne suffit pas. Pour être
concurrentiel, quand les normes environnementales ou de sécurité ne sont
pas sacrifiées, les inspecteurs chargés de les faire respecter sont
éliminés. L'État refile aux générations futures un environnement saccagé
et la facture de sa décontamination.
L'État diminue leurs impôts, supprime les taxes sur le capital, signe des «accords préventifs de double imposition» avec les États-paradis-fiscaux pour permettre à ces entreprises d'éviter d'avoir à verser leur contribution au trésor public. Ces entreprises profitent d'infrastructures coûteuses, d'une main-d'oeuvre instruite et en santé, mais le gros de la facture en est refilé aux citoyens. La règle de l'utilisateur-payeur ne s'applique qu'aux petits. Et la dette de l'État continue d'augmenter. De la masse monétaire actuellement en circulation autour de la planète, 50 % se trouvent dans des paradis fiscaux. Pour quel genre d'emplois?
Toujours pour plaire à la grande entreprise, l'État gruge la liberté d'association des travailleurs, réduit leur fonds de pension et augmente leur tâche. La sécurité d'emploi? «La sécurité d'emploi encourage l'incompétence!», nous répète-t-on. Si les investisseurs fuient l'insécurité, au contraire, les travailleurs qui la recherchent passent pour des incompétents. Cela s'appelle de la souplesse, du dégraissage, de la réingénierie.
L'État diminue l'accès à l'assurance-emploi: les travailleurs doivent accepter de travailler plus pour moins. Plus de chômage, moins d'emplois disponibles et pour ceux qui en détiennent encore un, les conventions collectives doivent être revues à la baisse, toujours au nom de la compétition. Parallèlement, la valeur des actions grimpe en bourse, actionnaires et spéculateurs s'enrichissent. Et l'État continue de s'appauvrir! Et on utilisera ce constat comme preuve de l'inefficacité du public et de l'efficience du privé.
Sous prétexte de vouloir créer de l'emploi, on a atteint discrètement un deuxième objectif: l'État n'a plus les moyens de financer ses infrastructures, son système de santé, son système d'éducation... Même s'il a été démontré hors de tout doute qu'un système de santé public est plus efficace et moins coûteux, l'État en est rendu à transformer ses citoyens en consommateurs de soins de santé privés. Le malade est devenu client, la maladie, source de profits.
L'éducation? Même sort: un bien de consommation, générateur de profits. Le système carcéral sera bientôt géré par le privé. Les prisons deviendront à leur tour génératrices de profits... Une clientèle prisonnière, le rêve de tout investisseur! Les États-Unis, plus compétitifs que nous, en sont déjà là.
Voici ce qu'écrivait Alain Deneault dans son plus récent livre intitulé Gouvernance: «Dans les années 1980, les technocrates de Margaret Thatcher ont habillé du joli nom de "gouvernance" le projet d'adapter l'État aux intérêts et à la culture de l'entreprise privée. Ce coup d'État conceptuel va travestir avec succès la sauvagerie néolibérale en modèle de «saine gestion». Nous en ferons collectivement les frais : dérèglementation de l'économie, privatisation des services publics, clientélisation du citoyen, mise au pas des syndicats... ce sera désormais cela gouverner.
Dans un tel contexte, comment peut-on espérer que l'État puisse un jour atteindre l'équilibre budgétaire? Pourquoi nous faire croire que la solution se trouve dans cet équilibre budgétaire ?
Comment en sommes-nous arrivés là? Il nous serait difficile de conclure que les citoyens sont totalement étrangers à ce changement de rôle de l'État, puisqu'on nous dit vivre en démocratie. Mais tout aussi difficile d'admettre que ces mêmes citoyens ont sciemment choisi cette nouvelle société: augmentation fulgurante des revenus d'un petit nombre d'individus et appauvrissement tout aussi spectaculaire de la majorité de la population planétaire.
En démocratie, le peuple décide. Comment a-t-on pu, vous et moi, décider de telles choses?
Jean-Yves Proulx
retraité de l'enseignement, Trois-Rivières.
La grande entreprise est
apatride, elle joue les travailleurs du monde entier les uns contre les
autres, sans égard ni à leur santé, ni à leur environnement. Seul, le
profit compte. L'État, censé représenter les intérêts de ses citoyens,
est maintenant en concurrence avec les autres États de la planète pour
offrir aux multinationales les meilleures situations d'affaires
possibles.
L'État diminue leurs impôts, supprime les taxes sur le capital, signe des «accords préventifs de double imposition» avec les États-paradis-fiscaux pour permettre à ces entreprises d'éviter d'avoir à verser leur contribution au trésor public. Ces entreprises profitent d'infrastructures coûteuses, d'une main-d'oeuvre instruite et en santé, mais le gros de la facture en est refilé aux citoyens. La règle de l'utilisateur-payeur ne s'applique qu'aux petits. Et la dette de l'État continue d'augmenter. De la masse monétaire actuellement en circulation autour de la planète, 50 % se trouvent dans des paradis fiscaux. Pour quel genre d'emplois?
Toujours pour plaire à la grande entreprise, l'État gruge la liberté d'association des travailleurs, réduit leur fonds de pension et augmente leur tâche. La sécurité d'emploi? «La sécurité d'emploi encourage l'incompétence!», nous répète-t-on. Si les investisseurs fuient l'insécurité, au contraire, les travailleurs qui la recherchent passent pour des incompétents. Cela s'appelle de la souplesse, du dégraissage, de la réingénierie.
L'État diminue l'accès à l'assurance-emploi: les travailleurs doivent accepter de travailler plus pour moins. Plus de chômage, moins d'emplois disponibles et pour ceux qui en détiennent encore un, les conventions collectives doivent être revues à la baisse, toujours au nom de la compétition. Parallèlement, la valeur des actions grimpe en bourse, actionnaires et spéculateurs s'enrichissent. Et l'État continue de s'appauvrir! Et on utilisera ce constat comme preuve de l'inefficacité du public et de l'efficience du privé.
Sous prétexte de vouloir créer de l'emploi, on a atteint discrètement un deuxième objectif: l'État n'a plus les moyens de financer ses infrastructures, son système de santé, son système d'éducation... Même s'il a été démontré hors de tout doute qu'un système de santé public est plus efficace et moins coûteux, l'État en est rendu à transformer ses citoyens en consommateurs de soins de santé privés. Le malade est devenu client, la maladie, source de profits.
L'éducation? Même sort: un bien de consommation, générateur de profits. Le système carcéral sera bientôt géré par le privé. Les prisons deviendront à leur tour génératrices de profits... Une clientèle prisonnière, le rêve de tout investisseur! Les États-Unis, plus compétitifs que nous, en sont déjà là.
Voici ce qu'écrivait Alain Deneault dans son plus récent livre intitulé Gouvernance: «Dans les années 1980, les technocrates de Margaret Thatcher ont habillé du joli nom de "gouvernance" le projet d'adapter l'État aux intérêts et à la culture de l'entreprise privée. Ce coup d'État conceptuel va travestir avec succès la sauvagerie néolibérale en modèle de «saine gestion». Nous en ferons collectivement les frais : dérèglementation de l'économie, privatisation des services publics, clientélisation du citoyen, mise au pas des syndicats... ce sera désormais cela gouverner.
Dans un tel contexte, comment peut-on espérer que l'État puisse un jour atteindre l'équilibre budgétaire? Pourquoi nous faire croire que la solution se trouve dans cet équilibre budgétaire ?
Comment en sommes-nous arrivés là? Il nous serait difficile de conclure que les citoyens sont totalement étrangers à ce changement de rôle de l'État, puisqu'on nous dit vivre en démocratie. Mais tout aussi difficile d'admettre que ces mêmes citoyens ont sciemment choisi cette nouvelle société: augmentation fulgurante des revenus d'un petit nombre d'individus et appauvrissement tout aussi spectaculaire de la majorité de la population planétaire.
En démocratie, le peuple décide. Comment a-t-on pu, vous et moi, décider de telles choses?
Jean-Yves Proulx
retraité de l'enseignement, Trois-Rivières.
lundi 20 janvier 2014
Quand 1 % de la population détient 50 % des richesses mondiales
"Les inégalités économiques se sont accrues depuis le début de la
crise, constate lundi l'ONG Oxfam dans un rapport publié à la veille de
l'ouverture du Forum économique mondial de Davos. Près de la moitié des
richesses mondiales sont aux mains de 1% de la population."
"Ces 1% les plus riches _ leur richesse est évaluée à 110 trillions de dollars"
Article complet: ICI
"Ces 1% les plus riches _ leur richesse est évaluée à 110 trillions de dollars"
Article complet: ICI
dimanche 19 janvier 2014
NeuroMarketing-Votre cerveau les intéresse
SOURCE: www.agence-web-conseil.com
Le Neuromarketing est le grand tabou des entreprises du 21° siècle...
Le reportage d’élise Lucet, diffusé récemment sur France 2 (après une fausse page de publicité) commence ainsi : « Hé, marie, vous pensez vraiment être une femme libre ?
Le saviez-vous ?
l’odeur du fast food est conçue pour vous procurer un maximum d’émotions
les images du site de voyages, elles, sont calibrées pour déclencher vos envies
le slogan de la banque, est façonné pour jouer sur vos peurs
... et votre crème, elle est étudiée pour allumer la zone du désir, dans votre cerveau !
Vous ne vous êtes rendu compte de rien ?
C’est normal, tout ca, est désormais calculé à l’aide des dernières technologies issues des neurosciences, comme l’IRM ou l’électro encéphalogramme. Cette nouvelle technique de vente a un objectif : Contrôler votre cerveau, son nom, le Neuromarketing »
neuromarketing
Définition
En fait et simplement, le Neuromarketing, c’est une maitrise plus aboutie de la manipulation….. des suggestions indirectes.
C’est un ensemble de techniques permettant de contourner certaines barrières conscientes, pour s’adresser directement à votre inconscient, à vos désirs, vos pulsions, vos ressources.
Dans cette émission que vous trouverez en vidéo en bas de cette actualité, vous aurez la possibilité de découvrir comment de grandes entreprises utilisent des techniques scientifiques pour étudier le cerveau et ses réactions, comment Mc Donald teste subtilement des odeurs positives (qui augmentent les ventes) dans ses produits de nettoyages ou comment votre banque veut et « peut » vous forcer la main pour faire des crédits, alors que vous n’en avez pas la nécessité.
De l'hypnose ?
La grande différence entre le Neuromarketing et l’hypnothérapie, c’est que cette dernière est utilisée pour votre bien, pas pour générer des bénéfices aux multinationales.
Il ne s’agit pas d’être alarmiste et de faire son manichéen de base, avec d’un coté, les méchantes grandes entreprises, et de l’autre, les gentils consommateurs. Cette volonté de vendre à tous prix, existe depuis que le marché existe. Il faut donner envie, être plus performant que ses concurrents, c’est la loi…. « this is the law », comme pourrait le dire le sergent Peper.
Les premières publicités apparues sur les premiers écrans TV couleurs, n’avaient elles pas plus d’impact, dans un contexte peu concurrentiel, que celles d’aujourd’hui qui nous laissent bien plus indifférents vu la surexposition médiatique dont nous faisons l’objet ?
Ce reportage nous fait prendre conscience de notre naïveté, mais n’oublions pas cependant que les meilleures suggestions indirectes du monde, ne nous feront pas faire ce que nous ne voulons pas faire au plus profond de nous. Pour que cela fonctionne, il faut avoir des prédispositions : aimer les hamburgers, les crèmes, etc….
Le Neuromarketing est le grand tabou des entreprises du 21° siècle...
Le reportage d’élise Lucet, diffusé récemment sur France 2 (après une fausse page de publicité) commence ainsi : « Hé, marie, vous pensez vraiment être une femme libre ?
Le saviez-vous ?
l’odeur du fast food est conçue pour vous procurer un maximum d’émotions
les images du site de voyages, elles, sont calibrées pour déclencher vos envies
le slogan de la banque, est façonné pour jouer sur vos peurs
... et votre crème, elle est étudiée pour allumer la zone du désir, dans votre cerveau !
Vous ne vous êtes rendu compte de rien ?
C’est normal, tout ca, est désormais calculé à l’aide des dernières technologies issues des neurosciences, comme l’IRM ou l’électro encéphalogramme. Cette nouvelle technique de vente a un objectif : Contrôler votre cerveau, son nom, le Neuromarketing »
neuromarketing
Définition
En fait et simplement, le Neuromarketing, c’est une maitrise plus aboutie de la manipulation….. des suggestions indirectes.
C’est un ensemble de techniques permettant de contourner certaines barrières conscientes, pour s’adresser directement à votre inconscient, à vos désirs, vos pulsions, vos ressources.
Dans cette émission que vous trouverez en vidéo en bas de cette actualité, vous aurez la possibilité de découvrir comment de grandes entreprises utilisent des techniques scientifiques pour étudier le cerveau et ses réactions, comment Mc Donald teste subtilement des odeurs positives (qui augmentent les ventes) dans ses produits de nettoyages ou comment votre banque veut et « peut » vous forcer la main pour faire des crédits, alors que vous n’en avez pas la nécessité.
De l'hypnose ?
La grande différence entre le Neuromarketing et l’hypnothérapie, c’est que cette dernière est utilisée pour votre bien, pas pour générer des bénéfices aux multinationales.
Il ne s’agit pas d’être alarmiste et de faire son manichéen de base, avec d’un coté, les méchantes grandes entreprises, et de l’autre, les gentils consommateurs. Cette volonté de vendre à tous prix, existe depuis que le marché existe. Il faut donner envie, être plus performant que ses concurrents, c’est la loi…. « this is the law », comme pourrait le dire le sergent Peper.
Les premières publicités apparues sur les premiers écrans TV couleurs, n’avaient elles pas plus d’impact, dans un contexte peu concurrentiel, que celles d’aujourd’hui qui nous laissent bien plus indifférents vu la surexposition médiatique dont nous faisons l’objet ?
Ce reportage nous fait prendre conscience de notre naïveté, mais n’oublions pas cependant que les meilleures suggestions indirectes du monde, ne nous feront pas faire ce que nous ne voulons pas faire au plus profond de nous. Pour que cela fonctionne, il faut avoir des prédispositions : aimer les hamburgers, les crèmes, etc….
samedi 18 janvier 2014
Terres rares : La high-tech à quel prix ? (docu)
Article trouvé ICI
Durant des siècles, néodyme, yttrium ou lanthane paraissaient sans valeur. Aujourd’hui, ces métaux appelés terres rares sont indispensables à la fabrication des smartphones, éoliennes et autres véhicules hybrides. Mais leur extraction demeure coûteuse et polluante.
Réalisé par Christian Schidlowski (2013
Réalisé par Christian Schidlowski (2013
2013 - Rencontre Annuelle AuCOFFRE - Perspectives économiques 2014 - Cha...
Rien de nouveau mais ça ne se présente pas bien.
Levé de soleil
Voici le vrai coût de nos objets de consommation à bas prix, dans la capitale chinoise l'ont doit mettre le levé du soleil sur écran géant pour que les gens désireux puissent le voir le matin.
jeudi 16 janvier 2014
Arctic Rivalry: Battle for North Pole oil sparks fears of '21st-century ...
Encore l'osti de pétrole, si seulement ont mettait autant d'efforts à développer une énergie alternative.
Arctic Rivalry: Battle for North Pole oil sparks fears of '21st-century ...
Encore l'osti de pétrole, si seulement ont mettait autant d'efforts à développer une énergie alternative.
mercredi 15 janvier 2014
Traité transatlantique, conférence de Susan George (ATTAC)
Conférence de Susan George, fondatrice et présidente d'honneur de l'association ATTAC (Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne) à propos de l'accord de libre-échange transatlantique, entre les États-Unis et l'Europe, qui doit entrer en vigueur en 2015.
En quoi ce traité, préparé dans le secret le plus absolu, va t-il nous impacter et pourquoi nous devons tous être informés de ses dangers ?
Desjardins achète State Farm Canada
Source: huffington post
Le Mouvement Desjardins prévoit acquérir les activités canadiennes de l'assureur State Farm. Si la transaction est approuvée par les autorités réglementaires, le groupe financier deviendrait le deuxième assureur de dommages au pays.
Desjardins souhaite conclure la transaction d'ici un an, en partenariat avec la coopérative financière européenne Crédit Mutuel.
Dans son communiqué, Desjardins explique que cette acquisition lui permettrait d'élargir sa présence dans les secteurs de l'assurance de dommages, d'assurance vie et d'assurance santé, tout en réalisant des économies d'échelle. Le Mouvement compte d'ailleurs continuer à exploiter l'enseigne State Farm.
Le groupe financier projette de consacrer 950 millions de dollars à cette transaction, qui devrait mener à des créations d'emplois au cours des prochaines années.
Du poulet au chlore
Il a bien fallu que je tombe sur un vidéo français pour me faire rappeler que je mange du poulet au chlore.
Source: Téléquébec
Source: Téléquébec
Les Européens refusent d’importer des poulets désinfectés
au chlore, une technique utilisée aux États-Unis, mais aussi au Canada!
Leur argument : le procédé est nocif pour la santé. Est-ce le cas ?
L’utilisation de produits chlorés permet d’éliminer des bactéries comme la salmonelle, le E-Coli et le Campilobacter, qui sont très communes dans la volaille.
La technique est simple, bien que peu appétissante : on trempe les poulets dans une espèce de soupe au chlore en provoquant un important refroidissement (le froid ralentit la prolifération bactérienne). Dans le cas des poulets refroidis à l’air, ils sont douchés avec le même type de préparation.
Le chlore est un produit chimique dangereux, mais on le retrouve tout de même, en quantités infinitésimales, dans l’eau du robinet qu’on consomme quotidiennement. La logique scientifique : les bénéfices sont supérieurs aux risques. La salubrité de l’eau est tributaire de la bonne santé publique. Exemple à l’appui : la tragédie de Walkerton, en Ontario, qui a fait des dizaines de morts à cause de la contamination du réseau d’aqueduc.
Reste tout de même certaines inquiétudes quant aux effets à long terme des produits chlorés sur la santé. Lorsque le chlore entre en contact avec une matière organique – dans ce cas-ci, des protéines de poulet – il forme des composés organochlorés, dont certains ont un effet cancérigène ou mutagène. Cependant, comme les poulets sont abondamment rincés et que les produits chlorés sont extrêmement volatiles, on n’en trouverait que des traces lorsque la volaille arrive sur le marché.
Alors pourquoi l’Union Européenne boycotte-t-elle nos poulets ? Une question de protectionnisme économique ? Beaucoup le croient.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) considèrent également que cette technique de désinfection des poulets apporte plus de bénéfices que de risques pour la santé.
Sources :
Comité scientifique européen sur les additifs et les processus alimentaires en contact avec les aliments, dans leur décision du 6 décembre 2005.
http://www.efsa.europa.eu:80/cs/BlobServer/Scientific_Opinion/afc_op_ej297_poultrytreatment_summary_en2,0.pdf?ssbinary=true
Position conjointe de l’OMS et la FAO
http://www.fao.org/ag/agn/agns/files/executive_summary_Active_chlorine.pdf
http://www.fao.org/ag/agn/agns/chemicals_chlorine_fr.asp
http://www.inspection.gc.ca/francais/fssa/meavia/man/ch5/5-1f.shtml
http://www.ec.gc.ca/RegistreLCPE/participation/archives/g1-13428_n3.pdf
http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/water-eau/chloramines/index-fra.php
L’utilisation de produits chlorés permet d’éliminer des bactéries comme la salmonelle, le E-Coli et le Campilobacter, qui sont très communes dans la volaille.
La technique est simple, bien que peu appétissante : on trempe les poulets dans une espèce de soupe au chlore en provoquant un important refroidissement (le froid ralentit la prolifération bactérienne). Dans le cas des poulets refroidis à l’air, ils sont douchés avec le même type de préparation.
Le chlore est un produit chimique dangereux, mais on le retrouve tout de même, en quantités infinitésimales, dans l’eau du robinet qu’on consomme quotidiennement. La logique scientifique : les bénéfices sont supérieurs aux risques. La salubrité de l’eau est tributaire de la bonne santé publique. Exemple à l’appui : la tragédie de Walkerton, en Ontario, qui a fait des dizaines de morts à cause de la contamination du réseau d’aqueduc.
Reste tout de même certaines inquiétudes quant aux effets à long terme des produits chlorés sur la santé. Lorsque le chlore entre en contact avec une matière organique – dans ce cas-ci, des protéines de poulet – il forme des composés organochlorés, dont certains ont un effet cancérigène ou mutagène. Cependant, comme les poulets sont abondamment rincés et que les produits chlorés sont extrêmement volatiles, on n’en trouverait que des traces lorsque la volaille arrive sur le marché.
Alors pourquoi l’Union Européenne boycotte-t-elle nos poulets ? Une question de protectionnisme économique ? Beaucoup le croient.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) considèrent également que cette technique de désinfection des poulets apporte plus de bénéfices que de risques pour la santé.
Sources :
Comité scientifique européen sur les additifs et les processus alimentaires en contact avec les aliments, dans leur décision du 6 décembre 2005.
http://www.efsa.europa.eu:80/cs/BlobServer/Scientific_Opinion/afc_op_ej297_poultrytreatment_summary_en2,0.pdf?ssbinary=true
Position conjointe de l’OMS et la FAO
http://www.fao.org/ag/agn/agns/files/executive_summary_Active_chlorine.pdf
http://www.fao.org/ag/agn/agns/chemicals_chlorine_fr.asp
http://www.inspection.gc.ca/francais/fssa/meavia/man/ch5/5-1f.shtml
http://www.ec.gc.ca/RegistreLCPE/participation/archives/g1-13428_n3.pdf
http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/water-eau/chloramines/index-fra.php
dimanche 12 janvier 2014
Ariel Sharon, une pourriture est morte.
samedi 11 janvier 2014
Monoculture: How One Story Is Changing Everything [Paperback]
Winner of the 2011 NCTE George Orwell Award for outstanding
contributions to the critical analysis of public discourse. One of The
Atlantic's Top 11 Philosophy/Psychology Books of 2011 As human beings,
we've always told stories: stories about who we are, where we come from,
and where we're going. Now imagine that one of those stories is taking
over the others, narrowing our diversity and creating a monoculture.
Because of the rise of the economic story, six areas of your world -
your work, your relationships with others and the environment, your
community, your physical and spiritual health, your education, and your
creativity - are changing, or have already changed, in subtle and
not-so-subtle ways. And because how you think shapes how you act, the
monoculture isn't just changing your mind - it's changing your life. "I
found myself reading non-stop, underlining like crazy...an astute
explanation about what I've been feeling recently, something I couldn't
put my finger on...[Michaels] writes in clear, energetic prose that's
thoughtful, engaging and unforced. She defines and analyzes without
judgment or insistence...a breath of fresh air..." - NPR Ohio "...a
singularly brilliant and accessible analysis of some of the fundamental
assumptions and driving principles of our time." - Comment Magazine
"...a single lucid narrative that's bound to first make you somewhat
uncomfortable and insecure, then give you the kind of pause from which
you can step back and move forward with more autonomy, authenticity and
mindfulness than ever." - The Atlantic "5 stars: The cause and effect of
our world is more surprising than you'd think. With intriguing notions
about the driving ideas of stories in every shape of our life,
"Monoculture" is an incredibly fascinating way about how the mind works
and today's consumer culture." - Midwest Book Review "If you just read
one book this year, read this one." - BuriedInPrint blog "A smart and
realistic guide to first recognizing the monoculture and the challenges
of transcending its limitations." - BrainPickings.org "A thin,
enrapturing gem. It's accessible, sensible--exactly the sort of book
that should have (and still could + should!) take off and create a tiny
little dent in books." - Kenyon Review
vendredi 10 janvier 2014
Consternation après la fermeture de bibliothèques scientifiques au Canada
Méchante marde.
"Et de fait, depuis le printemps dernier, au moins 7 des 11 bibliothèques de son ministère ont été fermées, dans un quasi-anonymat.
Le gouvernement fédéral a pris cette "décision idéologique" car il est conscient que "le Canadien moyen n'attache que peu d'importance" aux questions maritimes, affirme Jeff Hutchings, chercheur à l'université Dalhousie d'Halifax."
http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/01/10/fermeture-bibliotheques-scientifique-canada-consternation_n_4572983.html?utm_hp_ref=canada-quebec
"Et de fait, depuis le printemps dernier, au moins 7 des 11 bibliothèques de son ministère ont été fermées, dans un quasi-anonymat.
Le gouvernement fédéral a pris cette "décision idéologique" car il est conscient que "le Canadien moyen n'attache que peu d'importance" aux questions maritimes, affirme Jeff Hutchings, chercheur à l'université Dalhousie d'Halifax."
http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/01/10/fermeture-bibliotheques-scientifique-canada-consternation_n_4572983.html?utm_hp_ref=canada-quebec
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