jeudi 17 septembre 2015
dimanche 23 août 2015
vendredi 7 août 2015
dimanche 19 juillet 2015
Piketty Lordon CSOJ / 17 avril 2015 / Sorman / Ce Soir Ou Jamais / Taddéi
Frédéric Lordon (asymétrie pouvoir salarial/prérogatives patronales)
Thomas Piketty (inégalités revenu maj/minorité population planétaire)
Guy Sorman (libéralisme de marché/croyance économie scientifique)
Thomas Piketty (inégalités revenu maj/minorité population planétaire)
Guy Sorman (libéralisme de marché/croyance économie scientifique)
dimanche 12 juillet 2015
Faravahar
Je lis ce genre de trucs là et je me dit: zut que notre "culture
moderne" est creuse et vide de sens comparativement à ce qu'il y avait
il y a trois mille ans.
Source: Wikipedia
Le Faravahar (ou farvahar) (Persan: فروهر) est un des symboles du zoroastrisme. Il symbolise un Fravashi, qui est l'ange gardien d'un individu. Le mot Faravahar serait dérivé de celui de Fravashi.
Le Farvahar est sur tous les frontons des temples zoroastriens et sur certains monuments, comme le tombeau du grand poète persan, Firdoussi, dans l'ancienne ville de Sous.
Il symbolise le progrès, l'évolution et la perfection qui élèvent l'homme et lui apportent le bonheur suprême.
Il est basé sur les trois principes fondamentaux : « Les bonnes pensées, les bonnes paroles et les bonnes actions », symbolisées par l'aile à trois branches de Farvahar et l'univers sans fin (le grand anneau central), associés aux deux idéaux essentiels que sont la sagesse (les traits de son visage) et l'amour (le plus petit anneau, symbole de dévouement entre ses mains), se déplaçant en avant pour conduire l'homme vers le progrès, la droiture, et vers un destin heureux (ses ailes étalées).
« Le Farvahar est à la fois l'ange gardien, l'âme et l'esprit », explique la spécialiste du zoroastrisme, Niloufar Niknam.(source|Agnés ROTIVEL – Les principaux piliers du zoroastrisme - Journal La Croix, p. 20, 18 août 2014)
Source: Wikipedia
Le Faravahar (ou farvahar) (Persan: فروهر) est un des symboles du zoroastrisme. Il symbolise un Fravashi, qui est l'ange gardien d'un individu. Le mot Faravahar serait dérivé de celui de Fravashi.
Le Farvahar est sur tous les frontons des temples zoroastriens et sur certains monuments, comme le tombeau du grand poète persan, Firdoussi, dans l'ancienne ville de Sous.
Il symbolise le progrès, l'évolution et la perfection qui élèvent l'homme et lui apportent le bonheur suprême.
Il est basé sur les trois principes fondamentaux : « Les bonnes pensées, les bonnes paroles et les bonnes actions », symbolisées par l'aile à trois branches de Farvahar et l'univers sans fin (le grand anneau central), associés aux deux idéaux essentiels que sont la sagesse (les traits de son visage) et l'amour (le plus petit anneau, symbole de dévouement entre ses mains), se déplaçant en avant pour conduire l'homme vers le progrès, la droiture, et vers un destin heureux (ses ailes étalées).
« Le Farvahar est à la fois l'ange gardien, l'âme et l'esprit », explique la spécialiste du zoroastrisme, Niloufar Niknam.(source|Agnés ROTIVEL – Les principaux piliers du zoroastrisme - Journal La Croix, p. 20, 18 août 2014)
samedi 11 juillet 2015
samedi 20 juin 2015
Des communs et des hommes #DATAGUEULE 42
Les "communs" ou "commons" en anglais - souvent traduits par "biens
communs" - sont partout. L'air ou l'eau sont sans doute les plus connus
mais ce concept pourrait englober de nombreuses choses : la santé, le
savoir, la culture et plus généralement tout ce qui serait considéré
comme était essentiel à la société dans son ensemble. Dans les cultures
numériques, ils commencent à être de plus en plus reconnus, notamment
grâce à des initiatives comme les licences Creative Commons (http://is.gd/Hwl59d). Peut-être est-il temps de questionner leur place au-delà de la sphère numérique ?
communs" - sont partout. L'air ou l'eau sont sans doute les plus connus
mais ce concept pourrait englober de nombreuses choses : la santé, le
savoir, la culture et plus généralement tout ce qui serait considéré
comme était essentiel à la société dans son ensemble. Dans les cultures
numériques, ils commencent à être de plus en plus reconnus, notamment
grâce à des initiatives comme les licences Creative Commons (http://is.gd/Hwl59d). Peut-être est-il temps de questionner leur place au-delà de la sphère numérique ?
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